• chapitre 2

     

     Chapitre 2 : ma petite sœur Camille

     

    Il est cinq heurs du matin, dans une auberge, une jeune fille d’envièrent seize ans viens de se réveille, des gambes sortent de la couverture suivie par des bras et avec une grande lenteur elle fini par ouvrir ses grands yeux en s’étirent, Liliana les balades dans la chambre, étais se un rêve ???, elle à beaux  cherché, la petite fille de la veille à dischapitre 2parue, néanmoins elle remarque le plateau posé sur la table, contenant deux petites assiettes, en un instant plusieurs sentiment la parcoururent, de la joie car cette petite sœur exister belle et bien, mais aussi de la tristesse, car  son passé aussi étais là, mais tous ceci disparus en une fraction de seconde pour laissé place à l’inquiétude et l’angoisse, ou se trouve t’elle ???, elle se leva sans perdre un instant et commença à hurlais son nom, ou avait elle bien pus passé ???, elle s’habilla et descendis à toute vitesse les marches d’escaliers, quant elle fus en bas, Liliana ne pus retenir un soupir de soulagement en voyant l’enfant avalé de plaine dent un morceau de pain, elle s’approcha d’elle avec un petit sourire, lui décoiffa légèrement ses cheveux et de sa voie légèrement essoufflé par la course matinale quelle c’est vus offrir, elle lui dit : « tu m’à fais peur, tu aurais du me réveillé », la petite fille sourie, et sauta dans ses bras : « excuse moi grande sœur », 

     Liliana lui caressa la tête : « allais se n’es rien, tu à bien dormi ? »,

     « oui, et quant je me suis réveillé, je suis descendu en bas, et une gentille dame m’à donné sa » elle retourna se rassoir sur sa chaise pris le pain entre ses mains et lui passa un morceaux « tu veux le mangé avec moi». 

    « oh, non, merci, je n’ai pas vraiment faim, mais tu devrais le terminé, la journée va être longue, et tu à besoin d’énergie » rependit Liliana, enfaite elle avait pris l’habitude de ne pas trop mangé, et sachent que la nourriture se fais rare, Camille en aurais plus besoin qu’elle, soudain la petite se mis à rire et lui dit gentiment : « tu parle comme maman, tu sais tu lui ressemble beaucoup, elle ne voulais jamais mangé le matin». à cette simple entente le cœur de Liliana se serra de plus belle sachent bien que sa mère aussi l’aimé, au point de lui donné sa propre nourriture, comme le fessais la sienne au par avent, pourquoi elle ne c’étais rendu compte de rien, pourquoi elle n’avais pas vus que sa mère étais fine telle un squelette, quelle s’écroulé parfois à terre par manque d’énergie, pourquoi ?, elle sourie malgré se sentiment de culpabilité qui la traversé : « sa doit être une gentille maman »

    Camille : « oui la plus gentille de tous, je suis sur que dès qu’en la retrouvera vous vous entendrais très bien ensemble» . 

     Liliana leva ses yeux, et remarqua une femme de la quarantaine lui sourire, elle avais les cheveux jaune légèrement chapitre 2mélangé avec une couleur blanche qui étais son doute apparus au fil du temps, vêtu d’une robe de serveuse marron, elle à de beau yeux noir qui semblé capable d’ensorcelais qui conque les regarder, c’étais la femme du propriétaire, Liliana l’avais brièvement rencontré la veille et elle lui avais semblé très gentille, c’est certainement la femme qui à donné se pain à sa petite amie: «  madame je tenais à vous remercié pour tous se que vous avais fais pour nous. Vous nous avais étais d’un grand secoure, ainsi que votre marie, sans vous en aurais étais à la rue, alors je vous présente de la part de nous deux nos plus grand remerciement»

    « c’étais avec plaisir et vous avais bien travailler, vous l’aviez mérité, mais pourrais-je vous parlé quelques minutes….en privé s’il vous plait» dit elle en regardent l’enfant qui l’accompagné

    « oui, bien sûr….je vous suit », Liliana se leva de sa chaise, et partit au près de Camille, lui dissent gentiment :  « je reviens tous de suite, termine de mangé Camille et attend moi ici, d’acore, dès que je reviens en part » 

    « oui, d’acore » rependis  la petite fille ne se doutent pas que le sujet de conversation allais tourné au tour d’elle, Liliana suivais la dame jusqu’à la chambre d’à coté ou elles s’enfermèrent toutes deux, restèrent debout, aucune n’haussé prononcé un mot, Liliana ravala sa salive, la tentions étais palpable, et en pouvais voir des éclairs parcourir la pièce, quand la propriétaires pus enfin ouvrir sa bouche qui semblé quelque seconde au part avent collé, elle dit : « vous connaissiez la famille Listel? », Say, les doutes de Liliana étais fendez, cette femme connaissais belle et bien l’enfant, peut être savait elle se qui c’étais passé ? Qui sent ses parents ??, et en le remarquent : pourquoi à telle parlais au passé ? à la foie pressé de savoir, mais aussi indécise et effrayer : « non, pas vraiment, je connais seulement Camille, hier elle pleuré, ses parents en disparut….dite moi….. Vous savez …..Se qui leur es ……arrivé » réussit elle enfin à dire après mile essais à fin que sa voie sorte, son sourire avais disparu à la place une expression d’inquiétude apparaisse, non, c’étais plus que cela : de l’inquiétude mais aussi de la Heine puisqu’elle savait pertinemment se qu’elle allait entendre, des milliers de possibilité dans la qu’elle la bonne résidé se baladé en sa mémoire, mais toute…..  Toute étais signé par la main cruelle du  roi sans cœur, il n’y à rien d’autre qui puisse séparer une famille ainsi, il n’ya aucune autre personne qui pourrais séparé une mère qui aime tant sa fille  et vus se que lui avais raconté Camille c’étais une évidence, « faite qu’il soie en vie, pitié, pitié faite que cette petite puisse revoir le visage de ses parents » voilà se que se répété Liliana alors que son cœur semblé vouloir s’arrêté, les minutes passé en silence, le vissage de celle à qui elle s’adressé ne présagé rien de bon, il étais sombre, et avait presque les larmes aux yeux, qu’allait elle lui révélé, le temps qui s’écroule semble être semblable à de la torture, la femme s’assit et demanda à Liliana de faire de même avent de commençais son récit : « la mère de Camille étais l’une de mes amis d’enfance, elle étais douce et gentille c’étais une magnifique femme, une épouse modèle et une bonne mère» quand elle dit cette phrase la larme quelle retenez coula le long de sa joue, elle poursuivie en sanglot : « mais depuis quelques temps rien ne marche plus, les affères sent rudes, et l’argent se fais rare, elle à du vendre presque toutes ses affères mais même avec cela, ils n’avais presque plus de nourriture, elle n’à pus payais les impôts ses deux dernier mois, et cette foie…..elle ne pouvais même pas……. Leur versé une petite sommes…..je ne savais pas…..elle ne m’à rien dit…..pourquoi faut il qu’elle soie aussi entêté…. On dirai qu’elle me cache tous….. Comme elle….. et là ….elle à étais emmené par les soldats, son mari et elle….je ne savais pas que sa fille c’étais enfuie….dieu c’est ou ils sent, peut être en t’ils à se moment quitté la ville…..peut être sent il fais prisonnier… ou bien pire, je n’hausse imaginé…..pauvre enfant…..comment va-t-elle réagir » en dissent sa, elle éclata en sanglot, Liliana resta fixe, apeuré peut être mais aussi soulagé : « dieux soie loué »  dit elle, la femme leva ses yeux ébahis : « que dites vous !!!!, ils sent peut être mort à l’heur ou nous parlent, vous rendez vous compte !!!! »chapitre 2

    Liliana : « oui, mais nous ne somme pas certain, gardent espoir pour Camille, elle pourra revoir sa mère, j’en suis certaine, nous n’avent aucune preuve de leurs mort, ils faux gardé espoir pour Camille, pour cette petite fille qui les aimes, je m‘occuperais d’elle, c’est….ma….ma …..Petite ….petite …... Sœur » plus elle parlé plus les larmes coulées, les sanglots arrivé, elle sent un poids s’envolé, qu’étai-ce ?, quant c’était elle au temps attaché à cette enfant ????, quant !!!  Cela ne fessait qu’un jour qu’elle la connait, alors quant à telle pus prendre une telle place dans son cœur ????. 

     La propriétaire a là foie touché mais aussi interloqué par la scène prononça un nom : « Mindi », Liliana n’avais pas entendu cela mais la femme étais choqué par ce qu’elle venait de dire, cette petite ressemblé tellement à sa sœur, comment ne sent est t’elle pas rendu compte plus tôt, mais c’est impossible, sa sœur n’es plus de se monde, ainsi que toute sa famille : tué par les soldats, non, sa ne peut pas être sa fille, elle se débarrassa de cette hypothèse qui semblé trop belle pour être vrais néanmoins la ressemblance étais frappante et elle ne pus s’empêché de la prendre dans ses bras en se prétextent vouloir la réconforté, qui aurais pus dire si c’étais réellement elle, et dire que sa fessais neuf ans, neuf longue année qu’elle l’avais quitté, pourquoi devait elle faire partit de cette association, pourquoi le roi l’à t’il appris, pourquoi ? cette question elle se la posais des milliers de foie dans la journée mais hélasse sans jamais trouvé une quelconque raiponce, pourquoi devait elle à tous pris joué les héroïne, elle aurais pus simplement attendre comme tous le monde, elle non, elle ne pouvais pas se métrisé dès quelle voyais un soldat, la Heine qui l’envahissais étais inimaginable, mais malgré tous elle étais si tendre, si belle, elle n’oubliera jamais les yeux de sa sœur quant elle lui à annoncé l’arrivé de son enfant, ils étais pétillons plain de joie et d’enthousiaste, elle voulais que cette enfant connaisse le meilleur, qu’il vive dans les meilleur condition, qui aurait il pus prévoir que sept ans plus tard il mourrais par la main des soldats quelle haïssez déjà, se fus un drame, un drame pour tous les habitants, elle qui ne l’avais pas revu depuis près de trois ans, pourquoi ne lui avait elle pas parlé, elle ne lui avait jamais réellement parlé ou confié quoi que se soie, trop prévisible, elle voulais à tous pris que personne ne soie affecté par ses décision, qui sais se qu’elle aurait fais si elle aurais su que sa finirais ainsi, et que sa chère fille allais subir se sort, plus elle l’y pensé plus la femme pleuré, ses bras qui entouré Liliana se serrais de plus en plus, et désormais les deux femme étais au sol pleurent sanglotent se réconfortent l’une et l’autre.

        Quelque minutes plus tard, après s’être calmé, Liliana rejoignais Camille qui avait sans aucun doute terminé et commençais à s’impatienté, elle s’agenouilla au près d’elle et lui dit : « ma petite Camille j’ai une très très bonne nouvelle pour toi " 

    « quoi ? » dit l’enfant ne comprennent quasiment rien

    « et bien tu sais, en à retrouvé ta maman » 

    « unnnn, ou elle es ?? je veux la voir !! » s’écria l’enfant folle de joie en regardent dans tous les sens et courent un peut partout 

    Liliana l’arrêta dans sa lancé, et lui pris les deux mains : « Camille, écoute moi, tu es une grande fille maintenant, pas vrais ? »

    « oui, c’est vrais, je suis grande » 

    « et bien, tu doit comprendre, maman à eu un travaille à réglé, donc elle es partit mais c’étais trop loin, et elle n’à pas pus t’emmené, elle à dus y allais avec ton papa, tu comprend ? »chapitre 2

    « oui, mais elle reviendra maman, dit elle reviendra ? »

    « oui, elle reviendra, je te le promet, dès qu’elle aura fini son travaille, elle reviendra, mais tu devra l’attendre, d’acore ? » 

    « oui, d’acore » dit elle en la serrent fort dans ses petit bras frêle qui très vite furent couvert par se de la jeune fille, la propriétaire qui regardé la scène avais les larmes aux yeux , le cœur de Liliana étais serrais et en pouvais décelais une pointe de tristesse sur son visage, elle dégagea quelque peut l’enfant, pour pouvoir la voir de ses yeux et dit gentiment : «  dit, Camille, tu veux bien resté avec moi pendant que maman n’es pas là » 

    « ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je vais resté avec grande sœur Liliana, et comme sa, en sera toute les deux ensembles, en ne restera plus seul »

    En entendent cela, les larmes de la jeune fille en coulais, c’étais trop qu’elle ne puisse supporter, elle cola sa petite sœur à elle et entre ses sanglots laissa échappé quelques paroles : « oui, en sera ensemble, toute les deux ensemble ». 

    Après cette scène qui en à émus plus d’un les deux jeunes filles prirent leurs affèrent et sortir de l’auberge en saluent les propriétaires, qui c’est si cette dame étais réellement la tente de Liliana, qui sais si elles auraient pus formée une famille, mais c’étais trop tard, elle était séparé chacune de leurs coté et avec des voies complètement opposé, la petite Camille qui avais sa main dans celle de sa sœur sourie puis dit : « ou nous allant maintenant ? » 

    « Et bien, en va à mon travaille, tu me promets de resté sage, il ne faux pas faire de bêtise là-bas » 

    « Promis mais ou es que tu travaille grande sœur ?, qu’es que tu fais ?, dis moi ?? Allais ??? Allais ???? » Dis Camille en sautillon dans tous les sens telle une petite sauterelle.

    Liliana sourie à cette joie et cette enthousiaste mais elle redouté le sentiment de Camille en voyant tous ses blesser, comment allait elle réagir ?, seul l’avenir lui dirais : « moi, je suis infirmière, je travaille avec Mr Clandré, tu verras il es très gentille » 

    Elles continuèrent leurs routes et après une bonne demi heur de marche, Camille pus voir se qui ressemblé à une petite maison dans les murs étais complètement blanc, un peut délabré en l’admet, il semblé qu’elle date de très longtemps, mais les quelques plantes qui se trouvé sur les rebords redonné de la couleur au lieux, et en senti l’éclat et la chaleur, un homme âgée sortit alors de la vielle bâtisse et se mis à la vus des deux jeunes fille en les saluent, « dit grande sœur, c’est lui Mr Clandré » dit la petite en secouent légèrement la main de la concerné, le docteur lui sourie et dit : « oui, c’est moi, ravi de te rencontré, et toi ma petite quelle es ton nom ?» 

    « Moi je suis Camille, la petite sœur de Liliana»  

    « Et bien, ravi de te rencontré, Camille, allais entre » 

    Pendent que la petite pénétra dans la clinique, le médecin regarda perplexe Liliana, qui se rendit compte rapidement qu’il ne comprenait rien à se qui se passé : « je vais tous vous expliqué » 

    Après une bonne longue séance d’explication, la journée passa rapidement, à la plus grande joie de tous, il n’ya eu aucun ka réellement grave, et ceci étais vraiment rassurent, il est à présent cinq heur du soir, Camille exténué à fini par s’endormir  sur le canapé, et Liliana s’apprêté à repartir à la recherche d’un emplacement ou logé, bien sur elle n’à pas révélé la position délicate dans la qu’elle elle se trouvé à son patron pour ne pas l’inquiété, celui-ci l’étais un peut malgré tous : « tu es sur que tu pourra t’occupé d’une enfant ? Sa sera difficile» 

    Liliana : « oui, je le ferrais, en sais attacher l’une à l’autre, et je dois bien avouer que je l’aime beaucoup » 

    Clandré : « je te fais confiance, et je sais que tu peux le faire, mais je te supplie si tu à besoin de quoi que se soie viens me voir, je suis là d’acore »

    Liliana : « oui, d’acore »

    Elles se mirent en route, et pendant que Camille récupéré peut à peut son énergie sur les épaules confortables de la jeune fille, Liliana compte à elle baladé ses yeux pour trouvé une maison, elle se baladé ici et là et à sa plus grande joie à dix-huit heur du soir, elle fini par trouvé une petite maison, il semblerais qu’elle est étais laissé, ses occupent en s’en doute du partir à cause des dettes, quoi qu’il en soi sa fera l’affère pour cette semaine, Liliana y pénétra en laissent la jeune fille en d’hors, il fallait avent tous voir si tout étais sécurisé, qui sais si se n’es pas un piège, elle visita la chaumière de fend en comble, rassuré, elle fini par y faire rentré la petite, et lui demanda de resté bien sage le temps de sortir quelques minutes.

    Notre jeune héroïne sortit alors de la maison et partit en ville, elle sortit c’est quelque économie qu’elle avait réussi à gardé pour se mois, et acheta quelque pomme et du pain pour la soirée, son ventre criée famine, mais en parcourent la petite distance qui la séparé de la maison elle entendit un bruit, qu’étai-ce ?, elle se rapprocha un peut pour voir, et fus choqué de remarqué un officié, il étais en train de piétiné un homme à terre en l’injurient, « allais au diable, bonde de monstre » marmonna t’elle dans sa barbe, tous sa pour lui avoir demandé un morceaux de pain, il n’aurais pas pus lui donné sa ne lui aurais pas fais de male, ou en moins l’ignoré et s’en allais, non lui, il ne peut pas, mais comment faire, chapitre 2elle ne peut se montré ainsi il faudrait, elle baladé ses yeux ici et là, pour qu’il finisse par se posé sur un drap, le mettent sur sa tête telle un cape, elle s’avança vers lui en fessent semblent d’être sous, et d’un coup de balayette avec sa gambe le fis tombais à terre, l’homme à terre leva ses yeux pour voir celui qui l’avais sauvé, tendit que le militaire à terre avais des yeux rouge de colère, il se leva et se mis en position pour le combat, Liliana caché de manière à se qu’en ne la reconnaisse pas se pencha légèrement et réussi à quelque millimètre près à évité le coup de pied qui allais l’assommé, elle s’approcha furtivement de son adversaire tendit que sa gambe étais toujours en l’air, et lui donna un coup de point au niveaux de l’abdomen celui-ci s’accroupi en se plient en deux, elle tourna agilement sur elle-même et d’un autre coup à un endroit très sensible de sa personne fini par le mettre cahot, elle s’approcha de la victime qui observé la scène sans pour au temps pouvoir voir le visage de la jeune fille et la considèrent certainement comme un homme se pencha vers lui et dit de sa voie la plus masculine : « vous allez bien monsieur »

    « oui, ne vous inquiétez pas, merci, merci vous m’avais sauvé, mais vous êtes l’ange blanc !!!!» 

    « Oui, mais dépêchez vous les renforts risque d’arrivé d’ici peut »

    Elle l’aida à se relevé et l’accompagna jusque devant une chaumière, celui-ci lui dit : « s’il vous plait laissez-moi voir votre visage »  

    « je ne peut le faire, mais sachez que je serais toujours la pour vous aidez » dit elle, elle lui tendis un morceau de pain qu’elle lui mis dans la main « mangé le avec vos enfants, je sais que c’est pour eux que vous êtes allais voir se monstre » avent de partir en courent. 

    Alors qu’elle n’était plus perspective aux yeux de l’homme elle entra dans une Ruel et enleva le drap, et repartit à toute vitesse vair la maison ou l’attendais Camille, elles avalèrent un pain et une pomme chacune et finir par allais se couchais toutes deux ensemble. Comme au premier jour.

     

     


  • Commentaires

    3
    Samedi 4 Janvier 2014 à 12:59

    Monstre! Quoi que pour les trois chapitre c'est bien^^

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    2
    Samedi 4 Janvier 2014 à 12:36

    sa viendra, sa viendra, hihi mais faudra encore attendre, j'ai une bonne idée mais elle peut pas être mis pour l'instant alors, sinon la suite sera pour bientôt, j'éssayerais de mettre trois chapitre par semaine ^^, je te préviendrais, et oui je suis méchante pour la tente

    1
    Samedi 4 Janvier 2014 à 11:50

    Tu es méchante!!L'histoire avec la tente c'est trop! Camille elle est trop choux! Vraiment super, on a aucun mal à rentrer dans l'histoire, cependant on attend l'histoire d'amour!

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