• chapitre1

    voilà ceci est un de mes cadeaux pour noël, c'est le premier chapitre de ma nouvelle fic, et j'ai tenu à le faire éxtremement long, donc prenez votre temps et donné moi vos avis ^^, bon noël à tous

        chapitre 1: passé douloureux, rencontre inattendus 

    Un jour de Pluit, ceci étant banal vus la saison, l’hiver c’est installer, l’hiver cette saison détesté par les villageois de cette contré, le froid, la maladie, manque cruelle de nourriture qui fini par causé la perte des plus affaiblies d’entre eux, mais parmi ses personnes fais partit un jeune héro ou devrai-je dire héroïne : « l’ange blanc, justicier de la paix » en dit qu’il n’à aucun défaut, qu’il est parfais et qu’il ne se bat que pour les aidées, mais au fend ou se cache la vérité, comment une jeune fille peut elle en arrivé à se stade ?, elle le sais, même trop bien, elle sais que toutes ses paroles prononcé à l’égard de sa deuxième image n’ai que mensonge, elle sais qu’elle ne vie que pour mourir, que pour accomplir une tache, une tache qui à maudit son destin celui qui s’appelle : vengeance, vivre simplement pour chapitre1accomplir un acte, en se maudissons d’être partit se jour la, en se dissent qu’elle aurais dut resté à jamais au près de ses parents, que jamais elle aurais du écouté les paroles de sa mère, elle souhaité plus que tous les rejoindre, eux, les seuls personnes  qui en su lui apporté le sourire, ses personnes qui sent partit si taud, sans la voir grandir, sans la serrais dans leurs bras, et tous sa par la main d’un homme qui se prétend représenté la justice, « maudit soi se roi » voilà se que clamé haut et for la petite Liliana depuis l’âge de ses sept ans jusqu’à se jour, voilà la réelle image de la jeune fille qui se cache derrière un masque, voilà le supplice quotidien de celui qu’en nomme désormais le dernier espoir, celui qui cache ses sentiments en public, qui sourie toujours, levant la tête  devant les difficultés, ne souhaitent autre que réalisé le rêve de son père, que de vengé ses deux parents, que de mourir en paie sachent avoir réalisé se que tous espéré et rejoindre les deux personnes qu’elle n’es jamais aimée, les deux personne qui se sent sacrifié pour elle, les deux personnes qui désormais impossible à atteindre, à voir, à qui la faute ? Pourquoi eux ?, pourquoi ? Elle n’avait qu’une seul raiponce désormais ultime : le roi, cette imposteur, celui qui à volé la paix de se village, celui qui à volé des vies, celui  qui à volé leurs vies.

       Une jeune fille porte une robe de serveuse, elle à des cheveux noir pris en queue de chevale, de beaux yeux brun avec de long cille, un sourire gravé comme de la colle, un sourire qui semble sincère, un sourire qui semble pur, mais un sourire que personne n’ai jamais démasqué, un sourire qui cache bien des misères, cette demoiselle âgée de tous juste 17 ans, travaille dans la petite infirmerie du coin, l’argent qu’elle gagne serre à subvenir à ses besoins quotidiens, elle connais tous le monde en ville, et es assez apprécié, mais ils ne connaissent pas son secret, ils ne chapitre1Save pas qui sent ses parents, changé de nom pour ne pas que les gardes se doute qu’elle es une survivante, voilà se qui s’est produit, son patron es Mr. Clondré, un homme généreux qui ne veux que le bien au tour de lui , et s’est porté volontaire pour soigné toutes les personnes de son village, après le mort de sa femme bien aimée cossé par le manque de nutrition suivi d’un accouchement tardive, il s’es retrouvé seul à gérais la clinique, déprimé, attristé, et sur la pointe du désespoir, près à se donné la mort, s’es comme cela que Liliana s’es présenté à lui  a la recherche d’un travaille,  peut à peut elle à réussi à lui redonné gout à la vie, il se sent attaché l’un à l’autre, le docteur à trouvé en elle la fille qu’il n’à jamais eux, et comme tous père il ne souhaite que son bien, la journée est souvent chargé, des dizaines de malade et blessé par jour et plus exactement qu’en les gades passe en ville, se qui à le don de faire apparaitre une colère immense sur le visage de la jeune infirmière, une colère encore plus grande que celle des villageois, une colère qu’elle essais souvent de masqué sans réussite, seul après avoir enfilé son masque, en peut dire qu’à se moment précis elle se métamorphose, elle se sent plus forte, plus libre, mieux en elle, et capable de réalisé l’impossible, il faux bien avoué que celui à qui elle porte la plus grande colère est sans doute elle-même, elle son veux pour n’avoir rien pus faire, pour n’avoir pas su comment réagir, et désormais elle sera toujours prête peut importe les circonstances.

       On est dimanche, jour de larmes et de pleur pour plusieurs, se jour ou souvent grand nombre de villageois doivent quitter domicile cause des nombreux impôts, n’étant plus capable de gardé refuge sous leurs toits, et quant les gardes passe pour récolté des sommes de plus en plus élevé, ils n’en autre choix que de s’en allais, laissent tous leurs passé, tous leurs amis, tous leurs souvenirs, tous se qui à de l’importance à leurs yeux, à cette instant là Liliana  se mord la lèvre inférieur pour évité qu’un cris infernale ne sorte de sa bouche, elle ne peut rien faire, comment réagir, même si elle réussi à l’évite cette foie ci ils reviendront : trois, quatre, Cinque jour d’affilé jusqu’à l’instant ou elle se serais assoupi quelques minutes et que les personnes au qu’elle elle commençais à s’attaché parte loin, très loin, sans dire au revoir, sans savoir qui elle est, elle qui les observé caché chaque jours, chapitre1chaque nuit, qui essayais temps bien que mal de gardé cette famille unie, qui voulais évité qu’un drame ne se reproduise, elle  vécu cela des millier de foie, et jamais elle n’à réussi à gardé une seul famille à ses coté, ensemble ; toujours séparé, l’un d’entre eu ou plusieurs devais resté et travaillé pour payais tous se que l’armé exigé de la famille, alors que les autres, les lames au yeux s’en allé en laissent une personne chère à leur cœur, cependant il y’avais une autre catégorie à la quelle appartenais Liliana, celle-ci étais toujours en déplacement pour évité d’avoir trop de frais, il se faufilé d’abris à abris, jouent ainsi avec les n’aires de la grandes société qui les traité de tous les noms, pourtant à plusieurs reprise Liliana à failli se faire prendre, mais avec de la chance, de l’agilité, et surtout de l’expérience elle s’en est toujours sortit indemne et ne figure dans le fichier des fugitives qu’en temps que « l’ange blanc », et cela éteint secret bien garder.

        il est six heur du matin Liliana viens de se levé, plus de temps à perdre les inspections vent bientôt débuté, elle prend le sac dans le quelle sont rongé toutes ses affères, et le mets sur son dot, sortent ainsi de la petite chaumière dans la quelle elle à élut domicile toute la semaine, les jours en passé si vite, malgré qu’elle à pris l’habitude de ne pas s’attaché, cette endroit va quant même lui manquiez, comme tous les autres ou elle à déjà demeuré d’ailleurs, mais elle se résigne, enfile un léger sourire, et dit d’une petite voie plaine d’entrain sachent qu’elle reviendrais sans doute bientôt là : « à plus tard »  elle se dirige maintenant vair la clinique ou elle cache ses affèrent dans le placard, derrière un drap, elle sais très bien se qui l’attend si en voie ses affères qu’elle emmène avec elle,  elle serais sans aucun doute démasqué et obligé de fuir peut être même entrainons Mr. Clandré dans l’affère et ceci elle se le refuse catégoriquement, elle ne mêlera jamais personne dans sa vie.

       Il est à présent trois heur de l’après midi, après une longue opération, le médecin et son assistante ravi d’avoir sauvé la jambe d’un innocent prennent une pose bien mérité, ils viennent tous juste de s’assoir quant soudain en claqua à la porte, « sa doit surement être pour les impôts » dit Liliana sur un temps aussi noir que de la glace, ils se levèrent tous deux et se dirigèrent vair la porte, elle ouvris cette dernière et se poussa quelque peut pour laissé place à son patron, celui-ci contempla le garde qui se trouvé à coté de lui : « veuillez entré messieux » lui-même détesté ses hommes sans cœur, mais il n’avais autre choix que de se comporté ainsi, si se n’étais pour lui, en moins pour ses passions qui on besoin de lui, et qui n’en que lui pour les soignés, les gardes entrais et fouiller quelque peut le cabinet avent d’arrivé à l’armoire, le cœur de Liliana fis un bon, eux qui n’avaient jamais regardé à cette endroit, ils avaient remarqué le drap et s’apprêté à l’enlevé, elle ferma les yeux de peur et d’angoisse, et allais commençais à courir, quand le docteur mis sa main sur son épaule comme pour essayais de la rassuré, elle leva ses yeux et vis qu’il n’y avais plus aucune trace de ses affères, écarquillent sa bouche de stupeur, elle leva ses yeux sur son amis qui lui sourie, après quelque minutes les gardes prirent une somme qui devais semblé monumentale et repartir, les cheville de la jeune fille lâchèrent sous son poids, et l’homme se baissa à son niveaux pour lui déposé sa main sur ses cheveux, et sur un temps taquin et fière de lui : « heureusement que j’avais pensé à enlevé tes affères de l’armoire…bon plus de peur que de male, tu es sauvé », Liliana resta stupéfaite, toute foie un sourire se dessina sur son visage et en puis entendre un remercîment chaleureux pour celui qui venais de lui sauvé sa position actuelle qui même si elle ne semblé pas radieuse, étais qu’en même l’une des rares possibilité qui lui resté, pouvoir se déplacé librement, Clandré se leva et partit au jardin d’où il sortit le sac et le tendis à Liliana, elle l’attrapa et se releva dépoussièrent sa robe : « excuser moi » dit elle « je doit vous causse bien du souci »

    « Mais non tu te fais des idées….en plus sa m’aide à pendre ma revanche contre eux…..mais…..dit moi tu va encor changer de maison ?, tu ne veux vraiment pas venir habiter chez moi, il y’à de la place tu sais, et je te considère comme ma fille, sa t’aiderais en te diminuerais d’un poids…. Tu n’à que dix sept ans, à cette âge, en ne travaille pas » dit le médecin su un temps triste, c’étais la dixième foie qu’il lui proposé et il s’attendais déjà à la raiponce malgré qu’il souhaité de tous cœur la voir varié, la raiponce de Liliana ne se fus pas tardé, et elle dit : « non, c’est gentille mais je ne peut vraiment pas accepté, vous faites déjà tellement pour moi, et si je viens vous pourrais avoir des problème avec l’état et sa serais plus facile de m’enfuir si je suis seul je ne veux pas vous embarqué dans mes histoires, alors je doit refusé » elle pensa intérieurement : « cela mais impossible, je le sais, comment je pourrais me déguisé en homme si il es à mes cotés, et les blessures qu’en il rentrera qu’es que je pourrais donné comme explication, de plus si en m’attrape, en l’attrape, non, c’est tous simplement inimaginable » se résigna t’elle.

    « je doit avoué que je m’y attendais, alors je ne peux que te laissé partir plus tôt aujourd’hui, sa t’aidera à trouvé un endroit plus rapidement, il en sans doute fini les fouilles c’est toujours nous qu’en visite en dernier,  fais de ton mieux je te souhaite bonne chance, et n’oublie pas si tu à n’importe quelle problème ou que tu à besoin de quoi que se soie viens me voir je t’attendrais, tu me le promet ?» reprit il en la fixent dans les yeux

    Liliana sourie de plus belle et dit : «compté sur moi, et merci sa m’aidera, alors je vous dis à demain » elle pris ses bagage, et sortit de la clinique, marchent en direction de la ville, avent tous elle veux s’assuré de tous se qui c’est passé aujourd’hui, elle fini par arrivé en ville toujours la même ambiance pesante, que le froid n’à pas eu la bonté d’épargné, en voie quelque enfants qui pleurs ici et là, sa lui rappelé bien de mauvais souvenirs, elle avance vair la jeune fille devant elle, se baisse à sa hauteur, sort un mouchoir et lui essuie les quelques larmes de sa joue en lui sourient : « salut ma petite, qu’es qui t’es arrivé, tu va bien ? » dit elle avec un regard légèrement inquiet, la petite plongea sur les genoux de la jeune fille et éclata en sanglots : « maman, papa, il son partit, j’ai peur, des soldas, il m’en fais chapitre1peur et je me suis enfuie, je suis revenus à la maison mais, il n’y avais plus personne » à l’entente de ses quelque paroles le cœur de Liliana se figea,  elle imprégna la petite fille sanglotent dans ses bras, elle devais a peine avoir cinq ans, cette histoire,  elle lui rappellent trop de mauvais souvenir, une larme se mis à coulé le long de sa joue, qui sais se qui à bien pus arrivé à ses parents.

    Après quelque minute elle relâcha la petite se forcent à stoppé le fluide qui coulé le long de se yeux, que pouvais t’elle bien lui dire, comment la consolé ?, comment lui expliqué ? Ils sont peut être vivant ? Peut être la cherche t’ils ? Quant cette hypothèse parcourra le cerveau de Liliana, elle eu aussi taud le réflexe, s’accroupissent au près de la petite elle lui demanda quelle étais son nom et prénom, « Camille Listel »  rependit elle d’une petite voie.

    « Et bien Camille je m’appelle Liliana et je vais chercher tes parents, tu veux bien venir avec moi » dit elle avec un sourire

    « Oui, madame, merci »

    Les deux filles se prônèrent la main, cherchent des indice sur la disparition de ses parents, ils commençaient à se faire tard, quant soudain Liliana remarqua Camille qui commençais à succombais à la fatigue, elle lui sourie et dit : « viens sur mes épaules Camille, il commence à se faire tard et tu es surement épuisé, sa fais plus de Cinque heur qu’en cherche, tu va dormir avec moi aujourd’hui, et en verra après »

    La petite eu une petite mine attristé, qui ne l’aurais pas à un moment pareil, d’un simple geste de la tête elle rependit d’un oui, et monta sur les épaules de la jeune fille, aussitôt ses yeux se fermèrent et elle succombât à la fatigue, Liliana compte à elle se demandé se qu’elle devait faire, et plus le temps passé, plus elle commençait à croire que ses parents ne sent plus en vie, mais ou pouvait ils bien être, elle marché de part en part, ne savent ou elles pourrais hébergé pour la nuit, tous se qui l’importé étais de trouvé un abri pour la jeune fille, cette foie ci, il lui serais impossible de dormir à la belle étoile, elle marché de part en part, espèrent trouvé un toi ou caché l’enfant, qu’en soudain elle vie une auberge, tentent sa chance elle y entra, et partit vair celui qui semblé être le maitre des lieux, elle se présenta à lui et dit : « bonjour monsieur »

    « Bonjour, mademoiselle, puis je faire quelque chose pour vous ? »

    « Et bien, je voulais vous demandé, si vous pouviez me proposé du travaille»

    « Voyez vous ma petite, je n’ai pas vraiment d’argent, et je ne pourrais vous engagé, les affèrent ne sent pas vraiment fleurissante»

    Liliana l’interrompis de suite : « s’il vous plaît monsieur, tous se que je vous demande en échange c’est une chambre pour nous abrité le temps d’une nuit, et un diner »

    Le propriétaire pensa légèrement puis dit : « bon, j’accepte, suivez moi, je vais vous emmené à une chambre ou vous pourrais déposer l’enfant »

    « Merci monsieur » se pressa Liliana de rependre, le sourire gravé. Elle déposa doucement la petite Camille sur le lit et la couvris d’un drap a fin quelle n’attrape froid, juste après elle se rua au travaille, quatre heur en passé, épuisé, il est vingt trois heur du soir, et elle venait de finir de lavais la vaisselle de toute l’auberge, le chapitre1propriétaire fière d’elle lui donna les deux plat à mangé, aussi tôt qu’il furent entre ses mains un sourire embelli son visage, et elle sentit sa fatigue disparaitre, elle les monta avec elle dans la chambre ou elle rejoignais la petite fille, en entrent elle là vie, il semblé qu’elle venais de se réveiller, ses yeux étais légèrement entrouvrent et elle fixé le plafond au dessus d’elle, elle semblé perdu, en réflexion, ou dans ses rêveries, Liliana, sourie et en s’approchent d’elle et dit d’une voie cristalline : « tu est bien reposé, ma petite Camille »

    La petite bougea légèrement la tête pour observé qui venais d’arrivé : « oui, merci »

     « Tu à son doute faim, je t’ai apporté de quoi mangé, sa devrais te remettre en forme…. Viens en va manger ensemble »

     « Dite madame, pourquoi vous vous occupez de moi ?? »

     « et bien, peut être parce que tu me fais pensé à quelqu'un que je connais bien, et tu à l’air gentille»

     Camille sourie, puis un peut pensive elle dit : « dit moi, et tes parents ils ne s’inquiète pas »

    Liliana à se moment précis se figea  puis d’une petite voie elle dit : « tu sais moi, je n’ai pas de parent »

    « Excuse-moi » s’empressa de dire la petite fille qui semblé comprendre l’embarra dans le quelle se trouvé sa protectrice, elle rougie légèrement puis elle dit : « madame » elle commença à joué avec ses doits se qui arracha un sourire à son interlocutrice : « oui, Camille »

    « Je peux t’appelé  grande sœur Liliana »

    Touché et attendris par la scène qui se produisaient devant elle, Liliana sourie de plus belle et dit : « bien sûr, et toi tu seras ma petite sœur Camille »

     

    Les deux filles se sourirent et après un bon repas, deux sœurs ressèment réunis s’endormirent dans les bras l’une de l’autre, mais malgré tous une ombre régné dans le cœur de Liliana, une ombre qui daté de son enfance, une ombre qui semblé s’approché de la petite chose qu’elle imprégné dans ses bras, que se passera t’il si elle ne retrouvait pas ses parents, comment allait elle réagir, elle ne le sais pas, mais elle la protégera.


  • Commentaires

    8
    Vendredi 27 Décembre 2013 à 21:31

    Cool ^^

    7
    Vendredi 27 Décembre 2013 à 21:26

    merci si tous se passe bien la suit de cette fic ainsi que celle de princesse rebelle vent être posté aujourd'hui^^

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    6
    Vendredi 27 Décembre 2013 à 20:42

    C'étai vraiment long et en plus, super bon ! *Q* J'aime aussi la façon dont tu as mis les images et la construction du texte est parfait, comme l'Ange blanc ;) J'ai hâte de voir comment va progresser ton histoire :)

    5
    Vendredi 27 Décembre 2013 à 14:48

    chapitre 6 pub ^^ (pour les interaisser biensur ^^)

    4
    Vendredi 27 Décembre 2013 à 14:11

    elle est vraiment tres longue mais genial bravo

    3
    Jeudi 26 Décembre 2013 à 23:04

    Fantastique! Elle est trop chou Camille! Je me demande qu'elle genre de chose fait l'ange blanc, ça risque d'être dure pour elle de s'occuper de la petite et de jouer les justicère! J'ai vraiment adoré!<3

    2
    Mardi 24 Décembre 2013 à 20:14

    merci sa me fais plaisir, j'ai mis vraiment du temps à concocté se chapitre et je suis heureuse qu'il te plaise 

    1
    Mardi 24 Décembre 2013 à 20:09

    Nan mes elle est génial ta fic j'a-dor 

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :