Lila et marc venais de sauver Marianne une petite fille de sept ans qui étais tember dans un piège tendu par la renne, maintenent il rentre chez eux sans aucune intention de révélé leurs dèrnière mésaventure à leurs parrents, qui sans aucun doute les enfermerais à vie par creinte qu'il ne se retrouve sous la capetivité de Candit

chapitre 8: fautive, quoi qu'il arrive ensemble pour la vie

le soir arriva très rapidement, lila, marc et ses parents étais à table, lorcequ'un fraqua se fis entendre, et l'un des surveillon arriva en courent et hurla," vite, l'iscrane, les gardes sont là, parter en les retiendra"

sans attendre une minute de plus, les rechercher se haltèrent, et la, le père ouvrie une porte qu'en avais encore jamais remarquer caché dèrrière un meuble et ils purent tous sortir de la maison, malheureusement les ennuis ne s'arrété pas là, une fleche sortit de nul part attein le bras de Lila qui n'étais pas entièrement sicatrisé et se remis à s'énier, face à un embre de soldats qui dépassé largement les veign, nos amis ne purent combatre et dure fuirent en courent.

arrivent à les semets après une bonne heur caché dans les bois, la maison étais toujours surveiller, alors les quatres traqué se dérigèrent maintenent vair la seul dans la qu'elle il pouvais encore avoir confience, Laura arrivent là-bas toute les égratinuure furent soinier, et le bondage du bras de Lila remis en place, tous étais éxténué mais sependent une personne n'arrivé vraiment pas à fermer l'oeuil, pendant cette asseaux elle avais eu détrange vision ou devrai-je dire des flache back de sa naissence, se sentent coupable, fautive de tous se qui arrivé elle ne fessais que regarder le mur, qu'en soudin elle se leva, et écris une lettre pour sa mère: "maman, je ne peut rester avec vous plus longtemps, je vous aime tous et je refuse de mettre vos vie en danger, vous êtes tous se que j'ai de plus chère au monde, je ne peut pour l'intant assumé mon role de princesse, ou même hauser y postuler, mais j'ai compris une chose c'est que je doit m'y habitué et apprendre à me déffendre sans vous mettre en danger, je part et je ne reviendrais que qu'en je serais prête à assumé ma vie, n'éssayer pas de me retrouvé, je reviendrais mère attendais moi, je vous aimes, vous et tous mes amis, la famille Oguste et tous, passé leur a tous le bonjours, et mes remerciment" elle posa la lettre sur le bureaux pris un sac et y jetta toute ses affères, sans se douté que quelqun l'observer et avais fais de même, lila pris son chevale elle s'aprété à partir qu'en soudin marc se mis devent elle: "je vien avec toi"

Lila:"non, c'est imposible"

marc: "e t'en fais pas j'ai déja mes affère et j'ai laisser mon éxplication a mes parents, de plus je t'informe que se n'étais pas révocable, je vien avec toi un point c'est tous"

lila:"mais..."

marc: "non, il n'ya aucun mais, je t'avais dit que je ne te laisserais pas tember et j'ai pas l'intontion de briser ma promesse, tu n'a pas le choix, si tu part seul je réveille tous le monde, alors"

lila sourie face à la menace de marc:"allais dépeche toi, prend ton chevale, mais que je ne t'entende pas te plaindre, c'est toi qui a voulu me suivre"

marc:"oui, mon caporale" avec un sourire

et ils partirent tous deux en direction de la forêt.

     Lila et marc prirent leurs chevaux, et partir en courent dans la forêt, c’est le seul endroit ou personne ne les chercherais, bien sûr, ils savaient bien que sa serai difficile, mais ils ferrent tous leur possible. ensemble il y arriverent, après deux heur à chercher un abris ils finir par s’écoulé de fatigue devant un arbre.

   chapitre 9: brigon ou justicier? t'elle est la question

je me réveilla le lendemain, bizarement j'avais bien dormi j'étais au chaux confortablement installer, encore à moitié endormis, des main protéctrise m'encerclé j'étais alongé contre quelque chose, non plûtot contre quelqun, je tourné délicatement la tête et je rougie violament en apercevent le visage de marc endormis juste à quelque sentimètre de moi, oui je méttais asoupi dans ses bras, je me senté super embarasé mais bizarement je me senté en sécurité au prés de lui malgré la gène je ne pus me dégager de ses bras, je n'avais pas la force ou plutôt je n'avais pas l'envie c'étais étrange je n'arrive pas à décrire se que j'ai ressentie, et je ne les jamais ressentit au par avent. donc je resta plusieur minute à contemplais son visage jusqu'a me réendormire toujours bien en sécurité dans son étrainte.

point de vus de marc:

je me réveiller il fessais jour, je vis que quelqun dormé juste à coté ou doi-je dire sérré dans mes bras, mais attendais une seconde????, c'est LILAAAAAAAA,je n'arrive pas à y croire Lila est la possé endormis encercler par mes bras, je rougie légèrement à la vus de son visage d'ange qui étais aprésent à en peut dire dix sentimetre du mien, elle étais si belle, je l'observé je voulu reste ainsi plus longtemps mais hélas je savais qu'en ne pouvais resté à découvert si les soldats nous voix en est bon pour la prison.

retour à un point de vus éxterieure:

marc se leva délicatement pour pas révéller Lila il se mis à genous à coté d'elle et dit doucement en la secouent légérement et délicatement:"lila, lila, réveillle toi, c'est l'heur, il fais jour"

Lila ouvrie délicatement les yeux: "mmmmmmmmm, oui d'acore"

défficilement mais surmon ils c'étais tout les deux mis sur pied et marcher en dirrection de la ville, il souhaitté savoir à quoi ressembler leur ville natale, la ou ils étaient née la ou normalement ils aurais vécu et là ou lila auraient du être princesse, la vie des vilaguoi, tous il voulais absolument tous savoir dans les moindre détaille.

en arrivent sur place au première abore tous parru normale, mais la misère envahissez les rues, les gens ne semblé en aucun ka heureux, en nous tournent dans une ruélle, nous remarquament des soldats, oui des soldats martérisé une famille et les menacé de prendre leur enfant si il ne payé pas leur loyé, mais  malheureusement le povre couple n'avais guèrre d'argent et ne pouvais même pas subvenir à leur besoin donc pour payé des taxe c'étais mision imposible, un des soldats commenca à s'aprocher dangereusement de la petite fille, tendis que la mère pleuré de tous son lot et les suplié, lila étais choqué comment??, comment oset'il? non il n'en pas le droit, se sent des monstres, tous ses gens toutes ses personne en l'air si triste, si désemparé, elle s'aprété à intérvenire quen soudin, une flèche jailli de nul part, telle une providence, elle stopa le soldat dans sa route, soudin tous le monde se mis à hurlé le nom des justicier, lila et marc regarder la scène ébahi, le combat se fini sur la victoire des justisier ou comme le disais les soldats en hurlent de colère des brigon, des charlaton, dès que les soldats furent ore de vus les quatre jeune enfant (3garçon et une fille) partirent en courent sans demander leur reste.

oué oué je sais vous m'en voulé parce que j'ai mis du temps pour le posté mais je vais me ratrapé vous vérrez lisez le dac, j'éspère que vous aimerais et pour info j'ai une bonne réssent pour avoir étais absente oui oui mon oncle c'est marié, donc j''étais chez ma grand mère mais je suis enfin de retour pour encore plus de délire et n'oublié pas plus qu'une seumaine et c'est la rentré j'éspaire que vous me lacherais pas et que vous continurais à lire mes fic, ne m'oublié pas (à part si c'est les compo) à demain pour un nouveaux chapitre ou à tout à leur je ne sais pas encore

cette histoir est beaucoup différente de se que je vous présente habituellement, elle est entièrement de mon imagination, je tiens à préciser qu'elle contien un méssage à la fin, alors svp lissé la

Un cri au secoure 

    Vous savais qu’es que sa fais de se sentir inutile, c’est mon impression  à chaque foi, chaque jours, chaque minute, je ne serre à rien, en c’est temps de guerre ou mon village ravagé, je vie avec mes deux sœurs et mes parents prisonniers de notre maison, craignions à chaque minute de voir la mort devant nos yeux, et notre dernier heur qui sonne, le seul moment ou en peut sortir, c’est pour aller chez les voisins, ou tous les enfant par pour étudier grâce à des professeurs qui garde espoir, on c’est tous liée d’amitié les un envers les autres mais ne pouvant pas se voir, le couvre feux à six heur, je m’appelle Caroline et voila mon histoire, l’histoire de ma tragédie .

    Un jour en partent chez les voisins, j’ai vus un soldat qui voulez fermé notre classe, ils disaient que c’étais contraire au règlement, mais les profs se sent liée et le soldat est parti, c’est dernière parole furent : « vous verrais, je vous ferais regretté votre geste….vous maudirait ce jours funeste jusqu'à la fin de votre vie», il à sourit un sourire qui mets resté gravé, en la plus revu de toute la journée, mais j’avais un mauvais pressentiment, comme si quelque chose de grave allais se produire, la journée se termina et en rentra à la maison avec la pluie qui commençais a tombé, nos parents nous souriez comme toujours mais en ressentaient bien leurs terreur et leurs angoisse, en tremblai durent cette nuit glacial, la pluies rentrais dans la petite chaumière débrayé, et le bruit de l’eaux en tombant dans les seaux nous fessait sursauté à chaque reprise, sans chauffage avec nos habits déchirés en arriver certainement pas à clore nos paupières usée par la fatigue, nos cœurs bâtaient la chamade, l’hiver venais de débuté.

    Le lendemain je me suis levée de bonne heur, et je ne pouvais pas m’arrêter de pensais au prof, alors je suis  partit voir, et là j’ai trouvée une multitude de soldat, et au sol couché nos professeurs morts, leur tête arraché, dans les mains des soldats qui défilé et la maison brulé, je devenais folle, je n’arriver pas à enlevée mon regard des soldats, je tremblais morte d’inquiétude, paralyser par la peur qu’en j’ai regarder au sol, j’ai trouver un des profs encor vivant je me suit précipiter vair lui, mais un soldat ma vus, je l’ai regardé et là il a commençait à s’approcher de moi, j’ai eu peur, et il à arraché la tête du professeur avec sont épée devant moi, je n’arrivé presque plus a respiré, et là il c’est penchais et ma dit :«sa vous servira de leçon, la prochaine foi ou vous voudrai désobéir » terrorisé, j’ai commençais à courir vair la maison, les images de mes profs gravé dans ma tête et son rire que j’entendais en répétition, c’étais comme un cauchemar que je voulais effaçais de ma tête, mais la différence c’est que je ne pouvais pas, c’étais impossible, es que c’étais vraiment la réalité, mon cœur ce flétrissais, je voyer l’homme t’elle qu’il étais, et sa me dégouter, la vie na t’elle plus d’impotence ?, et la perte de nos semblable est t’elle ignorance ?, je ne ponce pas, comment peut en détruire la terre qui nous a élever ?, et nos frère qui nous en accueilli ?, ce n’est que le rejet de l’homme pour toute la bonté  offerte, pour moi je commençais à déteste les hommes, se ne sent que des fou qui ne Save plus qu’oi faire pour ce distraire, et n’hésite pas a laisser la vie de leur compagnon embrocher pour une pièce, mais à quoi sa leur sert je rêve de l’époque ou l’argent n’existé pas et ou tous le mande vivait en harmonie, sans prêter attention au différence, en rentrent à la maison je ne pouvez plus rien dire, je me suit enfermé dans ma chambre, et je suit resté là-bas à culpabiliser dans mon coin, je ne sert à rien voici la vérité.

   Les jours sent passé depuis se drame, et la guerre est fini, mais les résultats sent irréversibles, la mort et la culpabilité me range en sachent que j’aurais peut être pus éviter ça, l’humain est un monstre voilà ce que je me dit, une intelligence il présume, mais sa n’à aucun sens, si il étais vraiment un être supérieur, pourquoi continué à se faire du male a lui et à sa terre, l’humain est devenu le reflet de lui-même, un sauvage un carnivore à sa manière, un ignorent même les animaux les surpasse en intelligence, rare son les homme qui utilise encore leur cervelle, et garde le mot respect dans leur vocabulaire, tous le monde se dit intelligent, mais au fend ou est la véritable intelligence ?, des armes qui tus vos semblable et des usines qui détruise votre terre, non, je ne crois pas, pour moi la vrai intelligence, c’est savoir affronter les difficultés, rester uni, et sauvegarder votre famille et votre terre qui vous à nourri et protéger, et que vous avez rendus souffrante et pleurante sur sent sort, en se dissent se qu’elle a fais de male, l’homme vous me dite, mais quels homme ?, pour moi maintenant il à perdus son prestige, son nom, et son blason, se n’est plus celui d’autre foi, celui qui vivais de rien et qui souriez , même tous l’or du mande maintenant ne lui suffi plus, tu aura beaux tous lui donner, il cherchera encor et encor, pour ne laissez derrière lui qu’un grand silence. un silence et des ténèbres qui engloutirent la vie derrière lui, et a la fin il tombera dedans, piéger dans son impertinence, moi je dit qu’il faut redoré notre honneur, et si vous ne le fête pas pour vous, faite le pour vos ancêtre qui ce retourne sur leur tombe en voyant se que vous êtes devenus, nous la génération présente, nous avons le pouvoir de changer la situation, et de faire honneur à notre race qui à perdu son prestige du temps passé, et qui à fais coulé toute les larmes des personnes qui lui étaient chère.

voilà, je sais c'est rès différent de se que je mentre habituellement, mais c'est aussi l'une des durent réalité, je m'éxuse si quelque un peuvent trouvé sa légèrement (beaucoup) tromatison, quelque autre doivent penser que je suis singler à immaginer des truques pareille, mais sa éxiste réelement c'est comme sa, c'es un autre style d'écrit que je voulais patager avec vous, je tien aussi à dire à tous se qui en aprécié de laiser un com's si je réussi à avoir 15 com's (sans me compté bien sur) je vais crée une nouvelle rubrique ou je mettrais seulement des histoire, triste, méloncolique des poeme ou autre, à vous maintenent laisser des com's, et dite moi réelement se que vous en pensé, encore pardon à se que j'ai sans vouloir (si un peut) traumatisé

la famille venais d'être sauvé par se que tous le monde nomé les justicier des étoiles trois garcons et une fille qui avais à peut près le même age que lila et marc qui dailleur étais présent sur scène, et ébahi par leur force et leur técnique, malheureusement personne ne pus les documenté sur eux et la seul chose qu'ils avaient appris étais que depuis maintenent trois ans il s'oposé à la raine et quils aider les habitent.

chapitre10: toi??? les justicié des étoiles

(dans se chapitre je arle au nom de lila)

   il étais aprésent sept heur de l'aprés midi, n'éyent nul part ou dormir en se dérigèrent vair la forêt, mourrent tous deux litéralement de faim, à moitié affamé, à moitié épuisé, en se rendaint dans un coin de la forêt pour s'allonger, mais soudin et sans crié gare, quelqun pointa une épé sur mon dot, je m'éloigna à toute vitesse et saisi mon arme marc en fis au temps, en se retourne en courent et là qui en apersoi les justiciers, oui, c'étais les justicié qui avais sauvé la famille se matin, mais que nous voulais t'il, lila se détendu quelque peut mais soudin la jeune fille dit: "qui êtes vous?, des gades spéciale de la raine, des soldats, des chasseur de primes"

lila choqué: "non, vous vous tremper"

un garcon: "arété de mentir, nous vous avent jamais vus"

2 garçon: "de plus personne ne s'aventure en forêt la nuit"

3 garçon:" pas la paine de discuté, c'est certain que la raine les a envoyer"

marc: "mais non écouté nous"

lila:"nous ne somme..."

mais pas le temps de dire un mot, les justicier avais déja attaqué nous concidérent comme alié de la raine donc comme énnemi, en fus pris de cour et obliger de se battre pour notre survis, les coup se lancer, en éssayer temps bien que male de ne pas toucher nos rivales même si eux n'en fessais pas au temps, qu'en soudin une voie hurla: "arrétéééééééééééééééééééééééééééééééééééééé"

je vis soudin aparêtre une petite fille, mais attendais je la connais mais c'est la fille quen avaient sauvé Mariane, elle se précipita vair la bonde qui c'étais arrété suite à sa demande et dit: "il ne sent pas méchent, se son eux qui mon sauvé des sauldats" les jusicié levèrent soudin les yeux vair nous pour nous obsèrver et l'un des garçon dit: "tu en est sûr"

Mariane: "oui, certaine" elle s'avensa vair nous: "lila, marc vous allais bien"

lila:"oui, ma petite mariane merci de ton aide, tu est un vrais petite ange" en déssedent à son niveaux, elle me sourie

la fille qui étais alors au coté des justicié se précipita vair moi: "mais pourquoi vous l'avais pas dit avent" (comme si en avais eu le temps) elle me sérra dans ses bras: "merci d'avoir sauvé ma petite soeur"

lila et marc en parfaite harmoni hurlent en regardent Mariane: "TA PETITE SOEUR"

la fille: "oui, c'est notre petite soeur, je me présente moi c'est érica et eux se son mes frere"

un garçon: "enchanté moi c'est Pedro, désolé pour le malentendu"

2 garçon:" moi c'est Endré, merci de l'avoir sauvé"

3 garçon: "et moi c'est Patrique, enchanté"

lila: "enchanté moi c'est lila, et lui, c'est mon ami marc"

Mariane: "dit lila, ques que tu fais ici, en plaine nuit"

j'afficha soudin une mine triste, je repensais à tous se qui étais arrivé, quoi leur dire???, je ne sais pas, mon coeur commence à s'emballé, et je me sent male à un point inimaginable, qu'en soudin marc répendit à ma place comme si il lisé dans mes pensez et savais que je ne pourais rien dire: "enfête en sais pas ou allais, nos deux maison en étais prise d'asseaux par les soldats, et en à étais obliger de fuire içi"

érica:" désolé, en savais pas, ..... dite vous voulez vous joindre à nous j'ai vus que vous aviez un grand potentielle, et si vous voulez vous pourrais faire partit des notre bande"

Pédro et Patrique en même temps:"oui, c'est vrais vous avais de très bonne métrise dans les armes, et si vous voudais bien vous joindre à nous, sa renforcera le groupe"

lila:"vous êtes sur que sa ne vous dérange pas???" di-je avec une grande éspérence, et les yeux pétillon d'impatience

Endré: "oui, en plus nous avent presqe le même passé, alors pourquoi pas" avec un sourire

lila et marc en même temps avec un très grand sourire: "ouiiiiiiiiiiiiiiii, merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii"

Maiane se jeta alors dans les bras de lila:"ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je vais avoir une nouvelle grande soeur"

plus tard dans la soirée j'ai apris que les justicié étais d'une famille dans le père et la mère en étais tué par la raine, et qu'il c'étais réfujié dans la forêt, mais je ne veux pas vrément leur dire mes origine, sinon je sais très bien se qui va se passé, je ne veux pas quen me traite différament, alors je garderais le secret.

désormé nous vivent avec les justicié dans leur repère en est vite devenus de très bon amis, et j'en suis ravi, en vit dans une grotte caché par la casquade, et notre vie vien de prendre une tournur que je n'aurais jamais imaginé, brigon et justicié jusqu'a la fin, qui aurais pensais qu'une fermière pourrais découvrir qu c'est une princesse et devenir ensuite un brigon pour éssayer de sauvé son royaume c'est vraiment beaucoup en si peut de temp.

voilà prochain chapitre très prochainement j'éspère que celui la vous a plus votre amis mimikila, juste un petit détaille j'ai l'imprésion qu'il manque quelque chose pas vous?, je ne sais pas c'est mon imprésion et je n'arrive pas vrément à compendre quoi, si vous découvré, stp dite le moi, lacher les com's a toute

lila et marc viennent tous juste d'intégré le célebre groupe des justicier des étoiles, plus détrminer que jamais pour fair de leur mieux, il s'entendent un merveille avec le reste de la bonde cinque personnage haute en couleur et de très bonne compagni, érica, pedro endré, et patrique sans oublié la petite mariane qui à cause de son age ne fais pas partit des opérations.

chapitre 11: vivre en temps que justicié et que brigon,

et ben c'est pas toujours de tous repo

          Après qu’elle que jour de repo bien mérité, Lila et marc se sent remit a l’entrainement, mais Lila voulais essayer un nouvelle art de combat, le tir a l’arc, en réalité se qui la attirais dans cette art est la passion que son père éprouvé pour lui d’après Laura c’étais un mètre en cette discipline, et sa ne lui déplairai pas de partager la même émotion que son père pour se style de combat, alors elle demanda à  Endré de lui montrais comment faire, il accepta volontiers, un grand sourire redora le visage de Lila qui s’illumina, Endré lui précisa bien qu’il failler qu’elle s’exerce sont répit, qu’elle doit avoir de la force dans les main, ne pas abandonné, être la plus précise que possible, mais sa elle le savait déjà et elle lui assura qu’elle n’abandonnera pas En lui dissent : « tu sait moi qu’on je commence qu’elle que chose je n’abandonne pas, à moins d’arriver à mes feint, même si je me blesse, si je tombe, si je pleur, je fini toujours par reprendre le chemin peut importe se qui arrive, alors je peut t’assurais que je ferrais tous mon possible, de toute façon c’est inscrit dans mes gènes et je ne pourrais pas y échappé» Endré en entendent son discoure compris à qu’elle point elle étais déterminé, et lui donna rendez-vous le lendemain pour commençais l’entrainement, et voilà comment il est devenu le professeur de la jeune fille.

       Un mois est passé Depuis le début de l’entrainement, l’acharnement de Lila à donner ses fruits, ses vrais que depuis le début elle a eu un dont particulier pour le tir a l’arc, elle peut viser tous se qu’elle veut, elle pourra même couper une corde avec une seul flèche, Endré a rarement vus qu’elle qu’un  comme elle, l’élève à surpasser le mètre en un seul mois, et de bien loin, c’est devenu une professionnelle, marc aussi a subi un entrainement intensif, il est devenu imbattable avec son épée, et les relation entre le groupe ces vraiment intensifier maintenant ils sent devenus inséparable, surtout Lila, Marianne, et érica, les trois filles passe presque toute leur journée ensemble, et le soir c’est entrainement intensif et technique d’assaut avec toute l’équipe,  a chaque fois que qu’elle qu’un voyer un soldat qui s’approche des autre, il fessait un sent bien particulier, qui ressemblais au champs du rossignole et ils se caché eux ainsi que leur matérielle, chaque vendredi les filles mettent une cape pour ne pas être reconnus, et parte en reconnaissance, pour voir ce qui se passe au village, les dernière nouvelle, et remmenais en même temps qu’elle que provisions.        

       Un de ses jours, les justicier apprirent que la semaine prochaine, au environ de dix heur du matin, une carriole, par ordre de la renne va transporter tous les impôts dans le châteaux, c’est une occasion en or qu’il ne fallait pas manquer, ils se mire d’accort sur un plan d’attaque, être bien organiser voilà la clef du succès, n‘oublient pas leur nombre défavorable il ne faux prendre aucun risque, mais au fond ils sent persuadé de leur réussite, leur but faire comprendre à la renne qu’ils ne la lèseront pas agir impunément, et plus particulièrement pouvoir rendre l’argent dérobais au véritable possesseur, les paysans qui en travailler dur pour la récolter.

    De son coté la renne riais de tous son lot, personne ne s’avais pourquoi, elle n’arrêter pas de répéter : « saï tous mes problème vent disparaitre, les justicier vent mourir, ces la fin pour eux, c’est la fin, je vais être libre, et plus personne n’osera se mètre en travers de mon chemin, et en prime j’aurais la mort de la princesse, c’est le plus beau jour de ma vie, saï, voilà, c’est fini, tous est prés, leur mort est programmais, tic… tac, dans une semaine sa sera la fin » . 

voilà chapitre 11 posté, j'ai fais de mon mieux donc j'éspère que sa vous plaira, merci d'avoi lus et lachez les com's.