• rose rouge

    c'est la réadaptation du one chots que j'avais écrit pour le concour d'angel mimi en fic

  • je précise que la prologue est le oneshote lui même 

     

    Proloque: 

     cette nuit je fis le même rêve à nouveaux, mes parents, rose rouge, je déteste cette fleur, pourquoi es que ma vie est ainsi???, une rose rouge cela ne m'évoque que de mauvais souvenir, mon destin est passé de vie à très pas en la voyant, sur cette place maudite par le temps et la vie, je fais le sermon que jusqu'a la fin de mes jours qu'a jamais je protègerais se mondes, ses personnes, ses innocents de toutes les injustices, de toute les trahisons, sur cette épée, sur mon sang à jamais je serais l'ange blanc.

     

    "mon nom est l'ange blanc, prenez garde mécréant comment osez vous vous attaquer à se pauvre innocent" cria un jeune homme masqué du toit de la chaumière, il s'adressé à un cercle de garde tendit que tous les villageois se tourné vair lui manifestent leurs joies, leur sauveur étais arrivé, les gardes qui  entouré il y'a quelque minute un homme ensanglanté se précipiter à la poursuite du chevalier masqué, et tendit que celui-ci brandisses fièrement et vaillamment son arme, l'innocent à demi mort fus escorté dans la seul infirmerie du coint pour être soignais.

     

    désormais seul fasse à un nombre exubérant de garde et de sur quoi ne cessent d'augmenté le jeune homme n'eu d'autre choix que d'essayer de fuir pour les emmenais le plus loin possible de l'endroit, courent à travers les ruelle bandée de passent qui s’écarté, fessent tomber des barriques pour bousculé ses poursuivent il réussit après une bonne demi heur de course acharné à les semé grâce à une petite ruelle, essoufflé, se rendent compte de ses quelques blessures superficielle, il enfila une cape assai longue, enleva son masque et se dirigea vair sa maison.

     

    Arrivent enfin chez lui il entra, le calme régné à l'intérieur de la demeure vide et abandonné, ceci étant dit il c'étais habitué à cela, sa fessais déjà sept ans, sept ans qu'il vivait seul, sept ans que se crime à étais commis sous ses yeux, sept ans qu'il ne vie plus que pour se vengé.

     

    Flache back:

     

    une belle petite fille se promené dans la ville, elle porté une robe toute blanche mais un peut délabré, sur ses cheveux étais déposé des roses, des roses blanche, quelque larme apparaissais sur son doux visage elle venais de voir des soldat cela lui fessais tellement peur, oui quand elle avais l'âge de 4 ans la ville fus pris en otage par le roi du pays voisin et depuis se jour tous le monde vivais sous leur pression, tenant la main de sa mère elle rentrèrent dans la maison, la petite fille se dirigea vair la chambre tendit que la mère partit près de son marie, mais la en entendit un homme hurlais la petite fille ignorent se qui se produisais voulu sortir mais sa mère venais d'entré, elle lui déposa un baisé sur le franc, la fis sortir par la fenêtre de derrière et dit: "Liliana, tu ne doit en aucun ka revenir ici ma chérie, part, sauve toi"

     

    Liliana: "maman, mais et toi, pourquoi???, qu’es qui se passe ?? Ou est père"

     

    la mère: "tu doit partir, au revoir Liliana, soie forte"

     

    la petite fille ne compris pas elle suivi les conseille de sa mère à la lettre et partit le plus loin possible de la maison, après deux bonne heur, elle retourna chez elle, cela fus la plus grande erreur qu'elle est commise, car sur le sol elle ne trouva rien d'autre que deux corps inanimé , ses parent étais la, et juste sur la tête de sa mère les rose blanche qu'elle avais c'étais imbibé de son sang, le choque de la petite fus fatale elle tombât à terre en pleure, ses rose rouge, les rose sent la marque de la souffrance et de la mort.

     

    le lendemain le verdict étais tombé il avais proclamé que les gardes avais tué tous les résistent, et que son père étais le meneur du groupe rebelle, depuis se jour la petite jura de prendre sa revanche, elle se trouva une petite maison abandonné, elle ne supporté plus de retourné chez elle, là bas elle grandit en apprennent le maniement des armes au coté de quelque échappé comme elle, et après deux ans l'ange blanc est née perruque sur la tête, la jeune Liliana devenu le justicier de la paix.

     

    Fin du flache back

     

     

     


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  • voilà ceci est un de mes cadeaux pour noël, c'est le premier chapitre de ma nouvelle fic, et j'ai tenu à le faire éxtremement long, donc prenez votre temps et donné moi vos avis ^^, bon noël à tous

        chapitre 1: passé douloureux, rencontre inattendus 

    Un jour de Pluit, ceci étant banal vus la saison, l’hiver c’est installer, l’hiver cette saison détesté par les villageois de cette contré, le froid, la maladie, manque cruelle de nourriture qui fini par causé la perte des plus affaiblies d’entre eux, mais parmi ses personnes fais partit un jeune héro ou devrai-je dire héroïne : « l’ange blanc, justicier de la paix » en dit qu’il n’à aucun défaut, qu’il est parfais et qu’il ne se bat que pour les aidées, mais au fend ou se cache la vérité, comment une jeune fille peut elle en arrivé à se stade ?, elle le sais, même trop bien, elle sais que toutes ses paroles prononcé à l’égard de sa deuxième image n’ai que mensonge, elle sais qu’elle ne vie que pour mourir, que pour accomplir une tache, une tache qui à maudit son destin celui qui s’appelle : vengeance, vivre simplement pour chapitre1accomplir un acte, en se maudissons d’être partit se jour la, en se dissent qu’elle aurais dut resté à jamais au près de ses parents, que jamais elle aurais du écouté les paroles de sa mère, elle souhaité plus que tous les rejoindre, eux, les seuls personnes  qui en su lui apporté le sourire, ses personnes qui sent partit si taud, sans la voir grandir, sans la serrais dans leurs bras, et tous sa par la main d’un homme qui se prétend représenté la justice, « maudit soi se roi » voilà se que clamé haut et for la petite Liliana depuis l’âge de ses sept ans jusqu’à se jour, voilà la réelle image de la jeune fille qui se cache derrière un masque, voilà le supplice quotidien de celui qu’en nomme désormais le dernier espoir, celui qui cache ses sentiments en public, qui sourie toujours, levant la tête  devant les difficultés, ne souhaitent autre que réalisé le rêve de son père, que de vengé ses deux parents, que de mourir en paie sachent avoir réalisé se que tous espéré et rejoindre les deux personnes qu’elle n’es jamais aimée, les deux personne qui se sent sacrifié pour elle, les deux personnes qui désormais impossible à atteindre, à voir, à qui la faute ? Pourquoi eux ?, pourquoi ? Elle n’avait qu’une seul raiponce désormais ultime : le roi, cette imposteur, celui qui à volé la paix de se village, celui qui à volé des vies, celui  qui à volé leurs vies.

       Une jeune fille porte une robe de serveuse, elle à des cheveux noir pris en queue de chevale, de beaux yeux brun avec de long cille, un sourire gravé comme de la colle, un sourire qui semble sincère, un sourire qui semble pur, mais un sourire que personne n’ai jamais démasqué, un sourire qui cache bien des misères, cette demoiselle âgée de tous juste 17 ans, travaille dans la petite infirmerie du coin, l’argent qu’elle gagne serre à subvenir à ses besoins quotidiens, elle connais tous le monde en ville, et es assez apprécié, mais ils ne connaissent pas son secret, ils ne chapitre1Save pas qui sent ses parents, changé de nom pour ne pas que les gardes se doute qu’elle es une survivante, voilà se qui s’est produit, son patron es Mr. Clondré, un homme généreux qui ne veux que le bien au tour de lui , et s’est porté volontaire pour soigné toutes les personnes de son village, après le mort de sa femme bien aimée cossé par le manque de nutrition suivi d’un accouchement tardive, il s’es retrouvé seul à gérais la clinique, déprimé, attristé, et sur la pointe du désespoir, près à se donné la mort, s’es comme cela que Liliana s’es présenté à lui  a la recherche d’un travaille,  peut à peut elle à réussi à lui redonné gout à la vie, il se sent attaché l’un à l’autre, le docteur à trouvé en elle la fille qu’il n’à jamais eux, et comme tous père il ne souhaite que son bien, la journée est souvent chargé, des dizaines de malade et blessé par jour et plus exactement qu’en les gades passe en ville, se qui à le don de faire apparaitre une colère immense sur le visage de la jeune infirmière, une colère encore plus grande que celle des villageois, une colère qu’elle essais souvent de masqué sans réussite, seul après avoir enfilé son masque, en peut dire qu’à se moment précis elle se métamorphose, elle se sent plus forte, plus libre, mieux en elle, et capable de réalisé l’impossible, il faux bien avoué que celui à qui elle porte la plus grande colère est sans doute elle-même, elle son veux pour n’avoir rien pus faire, pour n’avoir pas su comment réagir, et désormais elle sera toujours prête peut importe les circonstances.

       On est dimanche, jour de larmes et de pleur pour plusieurs, se jour ou souvent grand nombre de villageois doivent quitter domicile cause des nombreux impôts, n’étant plus capable de gardé refuge sous leurs toits, et quant les gardes passe pour récolté des sommes de plus en plus élevé, ils n’en autre choix que de s’en allais, laissent tous leurs passé, tous leurs amis, tous leurs souvenirs, tous se qui à de l’importance à leurs yeux, à cette instant là Liliana  se mord la lèvre inférieur pour évité qu’un cris infernale ne sorte de sa bouche, elle ne peut rien faire, comment réagir, même si elle réussi à l’évite cette foie ci ils reviendront : trois, quatre, Cinque jour d’affilé jusqu’à l’instant ou elle se serais assoupi quelques minutes et que les personnes au qu’elle elle commençais à s’attaché parte loin, très loin, sans dire au revoir, sans savoir qui elle est, elle qui les observé caché chaque jours, chapitre1chaque nuit, qui essayais temps bien que mal de gardé cette famille unie, qui voulais évité qu’un drame ne se reproduise, elle  vécu cela des millier de foie, et jamais elle n’à réussi à gardé une seul famille à ses coté, ensemble ; toujours séparé, l’un d’entre eu ou plusieurs devais resté et travaillé pour payais tous se que l’armé exigé de la famille, alors que les autres, les lames au yeux s’en allé en laissent une personne chère à leur cœur, cependant il y’avais une autre catégorie à la quelle appartenais Liliana, celle-ci étais toujours en déplacement pour évité d’avoir trop de frais, il se faufilé d’abris à abris, jouent ainsi avec les n’aires de la grandes société qui les traité de tous les noms, pourtant à plusieurs reprise Liliana à failli se faire prendre, mais avec de la chance, de l’agilité, et surtout de l’expérience elle s’en est toujours sortit indemne et ne figure dans le fichier des fugitives qu’en temps que « l’ange blanc », et cela éteint secret bien garder.

        il est six heur du matin Liliana viens de se levé, plus de temps à perdre les inspections vent bientôt débuté, elle prend le sac dans le quelle sont rongé toutes ses affères, et le mets sur son dot, sortent ainsi de la petite chaumière dans la quelle elle à élut domicile toute la semaine, les jours en passé si vite, malgré qu’elle à pris l’habitude de ne pas s’attaché, cette endroit va quant même lui manquiez, comme tous les autres ou elle à déjà demeuré d’ailleurs, mais elle se résigne, enfile un léger sourire, et dit d’une petite voie plaine d’entrain sachent qu’elle reviendrais sans doute bientôt là : « à plus tard »  elle se dirige maintenant vair la clinique ou elle cache ses affèrent dans le placard, derrière un drap, elle sais très bien se qui l’attend si en voie ses affères qu’elle emmène avec elle,  elle serais sans aucun doute démasqué et obligé de fuir peut être même entrainons Mr. Clandré dans l’affère et ceci elle se le refuse catégoriquement, elle ne mêlera jamais personne dans sa vie.

       Il est à présent trois heur de l’après midi, après une longue opération, le médecin et son assistante ravi d’avoir sauvé la jambe d’un innocent prennent une pose bien mérité, ils viennent tous juste de s’assoir quant soudain en claqua à la porte, « sa doit surement être pour les impôts » dit Liliana sur un temps aussi noir que de la glace, ils se levèrent tous deux et se dirigèrent vair la porte, elle ouvris cette dernière et se poussa quelque peut pour laissé place à son patron, celui-ci contempla le garde qui se trouvé à coté de lui : « veuillez entré messieux » lui-même détesté ses hommes sans cœur, mais il n’avais autre choix que de se comporté ainsi, si se n’étais pour lui, en moins pour ses passions qui on besoin de lui, et qui n’en que lui pour les soignés, les gardes entrais et fouiller quelque peut le cabinet avent d’arrivé à l’armoire, le cœur de Liliana fis un bon, eux qui n’avaient jamais regardé à cette endroit, ils avaient remarqué le drap et s’apprêté à l’enlevé, elle ferma les yeux de peur et d’angoisse, et allais commençais à courir, quand le docteur mis sa main sur son épaule comme pour essayais de la rassuré, elle leva ses yeux et vis qu’il n’y avais plus aucune trace de ses affères, écarquillent sa bouche de stupeur, elle leva ses yeux sur son amis qui lui sourie, après quelque minutes les gardes prirent une somme qui devais semblé monumentale et repartir, les cheville de la jeune fille lâchèrent sous son poids, et l’homme se baissa à son niveaux pour lui déposé sa main sur ses cheveux, et sur un temps taquin et fière de lui : « heureusement que j’avais pensé à enlevé tes affères de l’armoire…bon plus de peur que de male, tu es sauvé », Liliana resta stupéfaite, toute foie un sourire se dessina sur son visage et en puis entendre un remercîment chaleureux pour celui qui venais de lui sauvé sa position actuelle qui même si elle ne semblé pas radieuse, étais qu’en même l’une des rares possibilité qui lui resté, pouvoir se déplacé librement, Clandré se leva et partit au jardin d’où il sortit le sac et le tendis à Liliana, elle l’attrapa et se releva dépoussièrent sa robe : « excuser moi » dit elle « je doit vous causse bien du souci »

    « Mais non tu te fais des idées….en plus sa m’aide à pendre ma revanche contre eux…..mais…..dit moi tu va encor changer de maison ?, tu ne veux vraiment pas venir habiter chez moi, il y’à de la place tu sais, et je te considère comme ma fille, sa t’aiderais en te diminuerais d’un poids…. Tu n’à que dix sept ans, à cette âge, en ne travaille pas » dit le médecin su un temps triste, c’étais la dixième foie qu’il lui proposé et il s’attendais déjà à la raiponce malgré qu’il souhaité de tous cœur la voir varié, la raiponce de Liliana ne se fus pas tardé, et elle dit : « non, c’est gentille mais je ne peut vraiment pas accepté, vous faites déjà tellement pour moi, et si je viens vous pourrais avoir des problème avec l’état et sa serais plus facile de m’enfuir si je suis seul je ne veux pas vous embarqué dans mes histoires, alors je doit refusé » elle pensa intérieurement : « cela mais impossible, je le sais, comment je pourrais me déguisé en homme si il es à mes cotés, et les blessures qu’en il rentrera qu’es que je pourrais donné comme explication, de plus si en m’attrape, en l’attrape, non, c’est tous simplement inimaginable » se résigna t’elle.

    « je doit avoué que je m’y attendais, alors je ne peux que te laissé partir plus tôt aujourd’hui, sa t’aidera à trouvé un endroit plus rapidement, il en sans doute fini les fouilles c’est toujours nous qu’en visite en dernier,  fais de ton mieux je te souhaite bonne chance, et n’oublie pas si tu à n’importe quelle problème ou que tu à besoin de quoi que se soie viens me voir je t’attendrais, tu me le promet ?» reprit il en la fixent dans les yeux

    Liliana sourie de plus belle et dit : «compté sur moi, et merci sa m’aidera, alors je vous dis à demain » elle pris ses bagage, et sortit de la clinique, marchent en direction de la ville, avent tous elle veux s’assuré de tous se qui c’est passé aujourd’hui, elle fini par arrivé en ville toujours la même ambiance pesante, que le froid n’à pas eu la bonté d’épargné, en voie quelque enfants qui pleurs ici et là, sa lui rappelé bien de mauvais souvenirs, elle avance vair la jeune fille devant elle, se baisse à sa hauteur, sort un mouchoir et lui essuie les quelques larmes de sa joue en lui sourient : « salut ma petite, qu’es qui t’es arrivé, tu va bien ? » dit elle avec un regard légèrement inquiet, la petite plongea sur les genoux de la jeune fille et éclata en sanglots : « maman, papa, il son partit, j’ai peur, des soldas, il m’en fais chapitre1peur et je me suis enfuie, je suis revenus à la maison mais, il n’y avais plus personne » à l’entente de ses quelque paroles le cœur de Liliana se figea,  elle imprégna la petite fille sanglotent dans ses bras, elle devais a peine avoir cinq ans, cette histoire,  elle lui rappellent trop de mauvais souvenir, une larme se mis à coulé le long de sa joue, qui sais se qui à bien pus arrivé à ses parents.

    Après quelque minute elle relâcha la petite se forcent à stoppé le fluide qui coulé le long de se yeux, que pouvais t’elle bien lui dire, comment la consolé ?, comment lui expliqué ? Ils sont peut être vivant ? Peut être la cherche t’ils ? Quant cette hypothèse parcourra le cerveau de Liliana, elle eu aussi taud le réflexe, s’accroupissent au près de la petite elle lui demanda quelle étais son nom et prénom, « Camille Listel »  rependit elle d’une petite voie.

    « Et bien Camille je m’appelle Liliana et je vais chercher tes parents, tu veux bien venir avec moi » dit elle avec un sourire

    « Oui, madame, merci »

    Les deux filles se prônèrent la main, cherchent des indice sur la disparition de ses parents, ils commençaient à se faire tard, quant soudain Liliana remarqua Camille qui commençais à succombais à la fatigue, elle lui sourie et dit : « viens sur mes épaules Camille, il commence à se faire tard et tu es surement épuisé, sa fais plus de Cinque heur qu’en cherche, tu va dormir avec moi aujourd’hui, et en verra après »

    La petite eu une petite mine attristé, qui ne l’aurais pas à un moment pareil, d’un simple geste de la tête elle rependit d’un oui, et monta sur les épaules de la jeune fille, aussitôt ses yeux se fermèrent et elle succombât à la fatigue, Liliana compte à elle se demandé se qu’elle devait faire, et plus le temps passé, plus elle commençait à croire que ses parents ne sent plus en vie, mais ou pouvait ils bien être, elle marché de part en part, ne savent ou elles pourrais hébergé pour la nuit, tous se qui l’importé étais de trouvé un abri pour la jeune fille, cette foie ci, il lui serais impossible de dormir à la belle étoile, elle marché de part en part, espèrent trouvé un toi ou caché l’enfant, qu’en soudain elle vie une auberge, tentent sa chance elle y entra, et partit vair celui qui semblé être le maitre des lieux, elle se présenta à lui et dit : « bonjour monsieur »

    « Bonjour, mademoiselle, puis je faire quelque chose pour vous ? »

    « Et bien, je voulais vous demandé, si vous pouviez me proposé du travaille»

    « Voyez vous ma petite, je n’ai pas vraiment d’argent, et je ne pourrais vous engagé, les affèrent ne sent pas vraiment fleurissante»

    Liliana l’interrompis de suite : « s’il vous plaît monsieur, tous se que je vous demande en échange c’est une chambre pour nous abrité le temps d’une nuit, et un diner »

    Le propriétaire pensa légèrement puis dit : « bon, j’accepte, suivez moi, je vais vous emmené à une chambre ou vous pourrais déposer l’enfant »

    « Merci monsieur » se pressa Liliana de rependre, le sourire gravé. Elle déposa doucement la petite Camille sur le lit et la couvris d’un drap a fin quelle n’attrape froid, juste après elle se rua au travaille, quatre heur en passé, épuisé, il est vingt trois heur du soir, et elle venait de finir de lavais la vaisselle de toute l’auberge, le chapitre1propriétaire fière d’elle lui donna les deux plat à mangé, aussi tôt qu’il furent entre ses mains un sourire embelli son visage, et elle sentit sa fatigue disparaitre, elle les monta avec elle dans la chambre ou elle rejoignais la petite fille, en entrent elle là vie, il semblé qu’elle venais de se réveiller, ses yeux étais légèrement entrouvrent et elle fixé le plafond au dessus d’elle, elle semblé perdu, en réflexion, ou dans ses rêveries, Liliana, sourie et en s’approchent d’elle et dit d’une voie cristalline : « tu est bien reposé, ma petite Camille »

    La petite bougea légèrement la tête pour observé qui venais d’arrivé : « oui, merci »

     « Tu à son doute faim, je t’ai apporté de quoi mangé, sa devrais te remettre en forme…. Viens en va manger ensemble »

     « Dite madame, pourquoi vous vous occupez de moi ?? »

     « et bien, peut être parce que tu me fais pensé à quelqu'un que je connais bien, et tu à l’air gentille»

     Camille sourie, puis un peut pensive elle dit : « dit moi, et tes parents ils ne s’inquiète pas »

    Liliana à se moment précis se figea  puis d’une petite voie elle dit : « tu sais moi, je n’ai pas de parent »

    « Excuse-moi » s’empressa de dire la petite fille qui semblé comprendre l’embarra dans le quelle se trouvé sa protectrice, elle rougie légèrement puis elle dit : « madame » elle commença à joué avec ses doits se qui arracha un sourire à son interlocutrice : « oui, Camille »

    « Je peux t’appelé  grande sœur Liliana »

    Touché et attendris par la scène qui se produisaient devant elle, Liliana sourie de plus belle et dit : « bien sûr, et toi tu seras ma petite sœur Camille »

     

    Les deux filles se sourirent et après un bon repas, deux sœurs ressèment réunis s’endormirent dans les bras l’une de l’autre, mais malgré tous une ombre régné dans le cœur de Liliana, une ombre qui daté de son enfance, une ombre qui semblé s’approché de la petite chose qu’elle imprégné dans ses bras, que se passera t’il si elle ne retrouvait pas ses parents, comment allait elle réagir, elle ne le sais pas, mais elle la protégera.


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     Chapitre 2 : ma petite sœur Camille

     

    Il est cinq heurs du matin, dans une auberge, une jeune fille d’envièrent seize ans viens de se réveille, des gambes sortent de la couverture suivie par des bras et avec une grande lenteur elle fini par ouvrir ses grands yeux en s’étirent, Liliana les balades dans la chambre, étais se un rêve ???, elle à beaux  cherché, la petite fille de la veille à dischapitre 2parue, néanmoins elle remarque le plateau posé sur la table, contenant deux petites assiettes, en un instant plusieurs sentiment la parcoururent, de la joie car cette petite sœur exister belle et bien, mais aussi de la tristesse, car  son passé aussi étais là, mais tous ceci disparus en une fraction de seconde pour laissé place à l’inquiétude et l’angoisse, ou se trouve t’elle ???, elle se leva sans perdre un instant et commença à hurlais son nom, ou avait elle bien pus passé ???, elle s’habilla et descendis à toute vitesse les marches d’escaliers, quant elle fus en bas, Liliana ne pus retenir un soupir de soulagement en voyant l’enfant avalé de plaine dent un morceau de pain, elle s’approcha d’elle avec un petit sourire, lui décoiffa légèrement ses cheveux et de sa voie légèrement essoufflé par la course matinale quelle c’est vus offrir, elle lui dit : « tu m’à fais peur, tu aurais du me réveillé », la petite fille sourie, et sauta dans ses bras : « excuse moi grande sœur », 

     Liliana lui caressa la tête : « allais se n’es rien, tu à bien dormi ? »,

     « oui, et quant je me suis réveillé, je suis descendu en bas, et une gentille dame m’à donné sa » elle retourna se rassoir sur sa chaise pris le pain entre ses mains et lui passa un morceaux « tu veux le mangé avec moi». 

    « oh, non, merci, je n’ai pas vraiment faim, mais tu devrais le terminé, la journée va être longue, et tu à besoin d’énergie » rependit Liliana, enfaite elle avait pris l’habitude de ne pas trop mangé, et sachent que la nourriture se fais rare, Camille en aurais plus besoin qu’elle, soudain la petite se mis à rire et lui dit gentiment : « tu parle comme maman, tu sais tu lui ressemble beaucoup, elle ne voulais jamais mangé le matin». à cette simple entente le cœur de Liliana se serra de plus belle sachent bien que sa mère aussi l’aimé, au point de lui donné sa propre nourriture, comme le fessais la sienne au par avent, pourquoi elle ne c’étais rendu compte de rien, pourquoi elle n’avais pas vus que sa mère étais fine telle un squelette, quelle s’écroulé parfois à terre par manque d’énergie, pourquoi ?, elle sourie malgré se sentiment de culpabilité qui la traversé : « sa doit être une gentille maman »

    Camille : « oui la plus gentille de tous, je suis sur que dès qu’en la retrouvera vous vous entendrais très bien ensemble» . 

     Liliana leva ses yeux, et remarqua une femme de la quarantaine lui sourire, elle avais les cheveux jaune légèrement chapitre 2mélangé avec une couleur blanche qui étais son doute apparus au fil du temps, vêtu d’une robe de serveuse marron, elle à de beau yeux noir qui semblé capable d’ensorcelais qui conque les regarder, c’étais la femme du propriétaire, Liliana l’avais brièvement rencontré la veille et elle lui avais semblé très gentille, c’est certainement la femme qui à donné se pain à sa petite amie: «  madame je tenais à vous remercié pour tous se que vous avais fais pour nous. Vous nous avais étais d’un grand secoure, ainsi que votre marie, sans vous en aurais étais à la rue, alors je vous présente de la part de nous deux nos plus grand remerciement»

    « c’étais avec plaisir et vous avais bien travailler, vous l’aviez mérité, mais pourrais-je vous parlé quelques minutes….en privé s’il vous plait» dit elle en regardent l’enfant qui l’accompagné

    « oui, bien sûr….je vous suit », Liliana se leva de sa chaise, et partit au près de Camille, lui dissent gentiment :  « je reviens tous de suite, termine de mangé Camille et attend moi ici, d’acore, dès que je reviens en part » 

    « oui, d’acore » rependis  la petite fille ne se doutent pas que le sujet de conversation allais tourné au tour d’elle, Liliana suivais la dame jusqu’à la chambre d’à coté ou elles s’enfermèrent toutes deux, restèrent debout, aucune n’haussé prononcé un mot, Liliana ravala sa salive, la tentions étais palpable, et en pouvais voir des éclairs parcourir la pièce, quand la propriétaires pus enfin ouvrir sa bouche qui semblé quelque seconde au part avent collé, elle dit : « vous connaissiez la famille Listel? », Say, les doutes de Liliana étais fendez, cette femme connaissais belle et bien l’enfant, peut être savait elle se qui c’étais passé ? Qui sent ses parents ??, et en le remarquent : pourquoi à telle parlais au passé ? à la foie pressé de savoir, mais aussi indécise et effrayer : « non, pas vraiment, je connais seulement Camille, hier elle pleuré, ses parents en disparut….dite moi….. Vous savez …..Se qui leur es ……arrivé » réussit elle enfin à dire après mile essais à fin que sa voie sorte, son sourire avais disparu à la place une expression d’inquiétude apparaisse, non, c’étais plus que cela : de l’inquiétude mais aussi de la Heine puisqu’elle savait pertinemment se qu’elle allait entendre, des milliers de possibilité dans la qu’elle la bonne résidé se baladé en sa mémoire, mais toute…..  Toute étais signé par la main cruelle du  roi sans cœur, il n’y à rien d’autre qui puisse séparer une famille ainsi, il n’ya aucune autre personne qui pourrais séparé une mère qui aime tant sa fille  et vus se que lui avais raconté Camille c’étais une évidence, « faite qu’il soie en vie, pitié, pitié faite que cette petite puisse revoir le visage de ses parents » voilà se que se répété Liliana alors que son cœur semblé vouloir s’arrêté, les minutes passé en silence, le vissage de celle à qui elle s’adressé ne présagé rien de bon, il étais sombre, et avait presque les larmes aux yeux, qu’allait elle lui révélé, le temps qui s’écroule semble être semblable à de la torture, la femme s’assit et demanda à Liliana de faire de même avent de commençais son récit : « la mère de Camille étais l’une de mes amis d’enfance, elle étais douce et gentille c’étais une magnifique femme, une épouse modèle et une bonne mère» quand elle dit cette phrase la larme quelle retenez coula le long de sa joue, elle poursuivie en sanglot : « mais depuis quelques temps rien ne marche plus, les affères sent rudes, et l’argent se fais rare, elle à du vendre presque toutes ses affères mais même avec cela, ils n’avais presque plus de nourriture, elle n’à pus payais les impôts ses deux dernier mois, et cette foie…..elle ne pouvais même pas……. Leur versé une petite sommes…..je ne savais pas…..elle ne m’à rien dit…..pourquoi faut il qu’elle soie aussi entêté…. On dirai qu’elle me cache tous….. Comme elle….. et là ….elle à étais emmené par les soldats, son mari et elle….je ne savais pas que sa fille c’étais enfuie….dieu c’est ou ils sent, peut être en t’ils à se moment quitté la ville…..peut être sent il fais prisonnier… ou bien pire, je n’hausse imaginé…..pauvre enfant…..comment va-t-elle réagir » en dissent sa, elle éclata en sanglot, Liliana resta fixe, apeuré peut être mais aussi soulagé : « dieux soie loué »  dit elle, la femme leva ses yeux ébahis : « que dites vous !!!!, ils sent peut être mort à l’heur ou nous parlent, vous rendez vous compte !!!! »chapitre 2

    Liliana : « oui, mais nous ne somme pas certain, gardent espoir pour Camille, elle pourra revoir sa mère, j’en suis certaine, nous n’avent aucune preuve de leurs mort, ils faux gardé espoir pour Camille, pour cette petite fille qui les aimes, je m‘occuperais d’elle, c’est….ma….ma …..Petite ….petite …... Sœur » plus elle parlé plus les larmes coulées, les sanglots arrivé, elle sent un poids s’envolé, qu’étai-ce ?, quant c’était elle au temps attaché à cette enfant ????, quant !!!  Cela ne fessait qu’un jour qu’elle la connait, alors quant à telle pus prendre une telle place dans son cœur ????. 

     La propriétaire a là foie touché mais aussi interloqué par la scène prononça un nom : « Mindi », Liliana n’avais pas entendu cela mais la femme étais choqué par ce qu’elle venait de dire, cette petite ressemblé tellement à sa sœur, comment ne sent est t’elle pas rendu compte plus tôt, mais c’est impossible, sa sœur n’es plus de se monde, ainsi que toute sa famille : tué par les soldats, non, sa ne peut pas être sa fille, elle se débarrassa de cette hypothèse qui semblé trop belle pour être vrais néanmoins la ressemblance étais frappante et elle ne pus s’empêché de la prendre dans ses bras en se prétextent vouloir la réconforté, qui aurais pus dire si c’étais réellement elle, et dire que sa fessais neuf ans, neuf longue année qu’elle l’avais quitté, pourquoi devait elle faire partit de cette association, pourquoi le roi l’à t’il appris, pourquoi ? cette question elle se la posais des milliers de foie dans la journée mais hélasse sans jamais trouvé une quelconque raiponce, pourquoi devait elle à tous pris joué les héroïne, elle aurais pus simplement attendre comme tous le monde, elle non, elle ne pouvais pas se métrisé dès quelle voyais un soldat, la Heine qui l’envahissais étais inimaginable, mais malgré tous elle étais si tendre, si belle, elle n’oubliera jamais les yeux de sa sœur quant elle lui à annoncé l’arrivé de son enfant, ils étais pétillons plain de joie et d’enthousiaste, elle voulais que cette enfant connaisse le meilleur, qu’il vive dans les meilleur condition, qui aurait il pus prévoir que sept ans plus tard il mourrais par la main des soldats quelle haïssez déjà, se fus un drame, un drame pour tous les habitants, elle qui ne l’avais pas revu depuis près de trois ans, pourquoi ne lui avait elle pas parlé, elle ne lui avait jamais réellement parlé ou confié quoi que se soie, trop prévisible, elle voulais à tous pris que personne ne soie affecté par ses décision, qui sais se qu’elle aurait fais si elle aurais su que sa finirais ainsi, et que sa chère fille allais subir se sort, plus elle l’y pensé plus la femme pleuré, ses bras qui entouré Liliana se serrais de plus en plus, et désormais les deux femme étais au sol pleurent sanglotent se réconfortent l’une et l’autre.

        Quelque minutes plus tard, après s’être calmé, Liliana rejoignais Camille qui avait sans aucun doute terminé et commençais à s’impatienté, elle s’agenouilla au près d’elle et lui dit : « ma petite Camille j’ai une très très bonne nouvelle pour toi " 

    « quoi ? » dit l’enfant ne comprennent quasiment rien

    « et bien tu sais, en à retrouvé ta maman » 

    « unnnn, ou elle es ?? je veux la voir !! » s’écria l’enfant folle de joie en regardent dans tous les sens et courent un peut partout 

    Liliana l’arrêta dans sa lancé, et lui pris les deux mains : « Camille, écoute moi, tu es une grande fille maintenant, pas vrais ? »

    « oui, c’est vrais, je suis grande » 

    « et bien, tu doit comprendre, maman à eu un travaille à réglé, donc elle es partit mais c’étais trop loin, et elle n’à pas pus t’emmené, elle à dus y allais avec ton papa, tu comprend ? »chapitre 2

    « oui, mais elle reviendra maman, dit elle reviendra ? »

    « oui, elle reviendra, je te le promet, dès qu’elle aura fini son travaille, elle reviendra, mais tu devra l’attendre, d’acore ? » 

    « oui, d’acore » dit elle en la serrent fort dans ses petit bras frêle qui très vite furent couvert par se de la jeune fille, la propriétaire qui regardé la scène avais les larmes aux yeux , le cœur de Liliana étais serrais et en pouvais décelais une pointe de tristesse sur son visage, elle dégagea quelque peut l’enfant, pour pouvoir la voir de ses yeux et dit gentiment : «  dit, Camille, tu veux bien resté avec moi pendant que maman n’es pas là » 

    « ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je vais resté avec grande sœur Liliana, et comme sa, en sera toute les deux ensembles, en ne restera plus seul »

    En entendent cela, les larmes de la jeune fille en coulais, c’étais trop qu’elle ne puisse supporter, elle cola sa petite sœur à elle et entre ses sanglots laissa échappé quelques paroles : « oui, en sera ensemble, toute les deux ensemble ». 

    Après cette scène qui en à émus plus d’un les deux jeunes filles prirent leurs affèrent et sortir de l’auberge en saluent les propriétaires, qui c’est si cette dame étais réellement la tente de Liliana, qui sais si elles auraient pus formée une famille, mais c’étais trop tard, elle était séparé chacune de leurs coté et avec des voies complètement opposé, la petite Camille qui avais sa main dans celle de sa sœur sourie puis dit : « ou nous allant maintenant ? » 

    « Et bien, en va à mon travaille, tu me promets de resté sage, il ne faux pas faire de bêtise là-bas » 

    « Promis mais ou es que tu travaille grande sœur ?, qu’es que tu fais ?, dis moi ?? Allais ??? Allais ???? » Dis Camille en sautillon dans tous les sens telle une petite sauterelle.

    Liliana sourie à cette joie et cette enthousiaste mais elle redouté le sentiment de Camille en voyant tous ses blesser, comment allait elle réagir ?, seul l’avenir lui dirais : « moi, je suis infirmière, je travaille avec Mr Clandré, tu verras il es très gentille » 

    Elles continuèrent leurs routes et après une bonne demi heur de marche, Camille pus voir se qui ressemblé à une petite maison dans les murs étais complètement blanc, un peut délabré en l’admet, il semblé qu’elle date de très longtemps, mais les quelques plantes qui se trouvé sur les rebords redonné de la couleur au lieux, et en senti l’éclat et la chaleur, un homme âgée sortit alors de la vielle bâtisse et se mis à la vus des deux jeunes fille en les saluent, « dit grande sœur, c’est lui Mr Clandré » dit la petite en secouent légèrement la main de la concerné, le docteur lui sourie et dit : « oui, c’est moi, ravi de te rencontré, et toi ma petite quelle es ton nom ?» 

    « Moi je suis Camille, la petite sœur de Liliana»  

    « Et bien, ravi de te rencontré, Camille, allais entre » 

    Pendent que la petite pénétra dans la clinique, le médecin regarda perplexe Liliana, qui se rendit compte rapidement qu’il ne comprenait rien à se qui se passé : « je vais tous vous expliqué » 

    Après une bonne longue séance d’explication, la journée passa rapidement, à la plus grande joie de tous, il n’ya eu aucun ka réellement grave, et ceci étais vraiment rassurent, il est à présent cinq heur du soir, Camille exténué à fini par s’endormir  sur le canapé, et Liliana s’apprêté à repartir à la recherche d’un emplacement ou logé, bien sur elle n’à pas révélé la position délicate dans la qu’elle elle se trouvé à son patron pour ne pas l’inquiété, celui-ci l’étais un peut malgré tous : « tu es sur que tu pourra t’occupé d’une enfant ? Sa sera difficile» 

    Liliana : « oui, je le ferrais, en sais attacher l’une à l’autre, et je dois bien avouer que je l’aime beaucoup » 

    Clandré : « je te fais confiance, et je sais que tu peux le faire, mais je te supplie si tu à besoin de quoi que se soie viens me voir, je suis là d’acore »

    Liliana : « oui, d’acore »

    Elles se mirent en route, et pendant que Camille récupéré peut à peut son énergie sur les épaules confortables de la jeune fille, Liliana compte à elle baladé ses yeux pour trouvé une maison, elle se baladé ici et là et à sa plus grande joie à dix-huit heur du soir, elle fini par trouvé une petite maison, il semblerais qu’elle est étais laissé, ses occupent en s’en doute du partir à cause des dettes, quoi qu’il en soi sa fera l’affère pour cette semaine, Liliana y pénétra en laissent la jeune fille en d’hors, il fallait avent tous voir si tout étais sécurisé, qui sais si se n’es pas un piège, elle visita la chaumière de fend en comble, rassuré, elle fini par y faire rentré la petite, et lui demanda de resté bien sage le temps de sortir quelques minutes.

    Notre jeune héroïne sortit alors de la maison et partit en ville, elle sortit c’est quelque économie qu’elle avait réussi à gardé pour se mois, et acheta quelque pomme et du pain pour la soirée, son ventre criée famine, mais en parcourent la petite distance qui la séparé de la maison elle entendit un bruit, qu’étai-ce ?, elle se rapprocha un peut pour voir, et fus choqué de remarqué un officié, il étais en train de piétiné un homme à terre en l’injurient, « allais au diable, bonde de monstre » marmonna t’elle dans sa barbe, tous sa pour lui avoir demandé un morceaux de pain, il n’aurais pas pus lui donné sa ne lui aurais pas fais de male, ou en moins l’ignoré et s’en allais, non lui, il ne peut pas, mais comment faire, chapitre 2elle ne peut se montré ainsi il faudrait, elle baladé ses yeux ici et là, pour qu’il finisse par se posé sur un drap, le mettent sur sa tête telle un cape, elle s’avança vers lui en fessent semblent d’être sous, et d’un coup de balayette avec sa gambe le fis tombais à terre, l’homme à terre leva ses yeux pour voir celui qui l’avais sauvé, tendit que le militaire à terre avais des yeux rouge de colère, il se leva et se mis en position pour le combat, Liliana caché de manière à se qu’en ne la reconnaisse pas se pencha légèrement et réussi à quelque millimètre près à évité le coup de pied qui allais l’assommé, elle s’approcha furtivement de son adversaire tendit que sa gambe étais toujours en l’air, et lui donna un coup de point au niveaux de l’abdomen celui-ci s’accroupi en se plient en deux, elle tourna agilement sur elle-même et d’un autre coup à un endroit très sensible de sa personne fini par le mettre cahot, elle s’approcha de la victime qui observé la scène sans pour au temps pouvoir voir le visage de la jeune fille et la considèrent certainement comme un homme se pencha vers lui et dit de sa voie la plus masculine : « vous allez bien monsieur »

    « oui, ne vous inquiétez pas, merci, merci vous m’avais sauvé, mais vous êtes l’ange blanc !!!!» 

    « Oui, mais dépêchez vous les renforts risque d’arrivé d’ici peut »

    Elle l’aida à se relevé et l’accompagna jusque devant une chaumière, celui-ci lui dit : « s’il vous plait laissez-moi voir votre visage »  

    « je ne peut le faire, mais sachez que je serais toujours la pour vous aidez » dit elle, elle lui tendis un morceau de pain qu’elle lui mis dans la main « mangé le avec vos enfants, je sais que c’est pour eux que vous êtes allais voir se monstre » avent de partir en courent. 

    Alors qu’elle n’était plus perspective aux yeux de l’homme elle entra dans une Ruel et enleva le drap, et repartit à toute vitesse vair la maison ou l’attendais Camille, elles avalèrent un pain et une pomme chacune et finir par allais se couchais toutes deux ensemble. Comme au premier jour.

     

     


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  • chapitre 3: mission, mensonge et traka

    Il est six heur du matin les rues sent vide et le silence règne malgré sa deux jeunes filles ; petite Camille ainsi que sa sœur Liliana vienne de finir leurs préparations, et s’apprête à sortir de la maison quelque peut délabrer mais qui toute foie accepte avec joie, vus que c’est le seul domicile ou elles peuvent s’installé, le sourire gravé sur le visage dissimulé bien l’inquiétude de la grande sœur , sur le chemin menant à son travail plusieurs questions semblé lui mutilé chapitre 3l’esprits, et les plus évidente étais sous la marque pesante d’un seul et unique mot, la capacité : « Pourrait-elle y arrivé ? Tant de missions ?, protégé les villageois ??  Joué son rôle en tant qu’infirmière ???, gardé sa couverture ????  ne mettre en danger personne ?????, et surtout veillé sur Camille et honoré sa promesse en retrouvent ses parents en vie », tendit que Camille qui ignoré la situation sautillé telle un petit farfadet, Liliana se heurté à un mur de pierres qui représenté son futur, Pourrat-elle le démolir ? Le trajet fus sans prononcé un quelconque mot, lourd et paissent sur les épaules de Liliana.
      Arrivé à l’infirmerie dissipent ou plutôt cachent le nuage noir qui c’étais formé au dessus de sa tête, Liliana arbora son faux sourire habituelle et se rua au travaille, juste à coté Camille s’assied en regardent paisiblement le paysage envoutent des passent qui traversé la rues par la fenêtre, les heurs passé lentement, il est midi et cela comme à son habitude dans cette ville ne présage rien de bon , tous d’un coup en entendit un cri, celui si tous le monde le reconnaissais, sa c’étais une nouvelle foie passé, les soldats étais arrivé, voyant les gens accourir il ne se termina point une seconde avent qu’un cris subvienne et traversa le mur du sent pour rejoindre Mr. Clandré : « laissez moi y allais, je vous on prix, je doit y allé » c’étais elle Liliana, elle se calma un temps soie peut si en puis le dire, et reprenais : « si il y’à des blaisés, je les ramènerais »
    « je te laisse faire mais soie prudente et ne t’approche pas trop des gardes, je vais préparé le matérielle pour les soins de premier secoure, j’espère qu’il n’y aura pas trop de dégât» 
    « OK » elle s’approcha doucement de Camille et lui sourit gentiment en dissent : «je reviens bientôt, soie gentille avec  Mr Clandré, ne fais pas de bêtise et reste gentille »
    « d’acore » rependit l’enfant sur un temps rassemblent tristesse et inquiétude
    Liliana sortit par la porte de devant et sans être aperçu elle se dirigea vers le jardin de derrière plus précisément une petite cabane ou étais stocké plusieurs vieux médicament et draps, elle sortit un sac qui étais caché sous un placards entouré de tissu, et grâce à ses vêtement qu’elle revêtit, elle devenus l’ange blanc, pantalon noire, veste de la même couleur, chemisier blanc, elle  pris ses cheveux grâce à des épingle, mi sa perruque au cheveux jaune et son chapeau noir corbeau, Cinque minutes plus tard, lorsqu’elle fus prête elle enfila une cape et se mis à courir en direction de l’émeute, « les vois si ses énergumènes » pensait elle, très vite elle se rendit compte de la gravité de la situation, l’homme étais à terre, une marre de sang l’entouré, sa femme qui pleuré étais retenus par deux hommes pour ne pas le rejoindre, des jumeaux étais à ses cotés, à peine un an, il étais dans les bras d’une vielle femme qui leur bouché la vus, sans doutes ses fils , cette homme avais une épée prête à lui transpercé le cœur, comment faire, elle ne réfléchis pas trop, et sans même s’en rendre compte elle se retrouva sur le toit, pris un peaux de fleur et le lança sur la tête de celui qui semblé vouloir condamné le villageois à mort, se dernier tombât à terre évanoui, à cette instant précis tous les regard, méprisent et admirative se tournèrent en direction du ciel d’où sauta le jeune homme en pointent son arme, les 4 gardes restent dégénèrent leurs épées, « te voilà donc, malappris » dit l’homme qui avais quelque bleu sur le visage, Liliana semblé reconnaitre sa voie, elle plongea alors ses yeux brun Person sur s’eux du jeune homme et d’un sourire malicieux dit : « alors comme sa votre défaite d’hier ne vous à point suffi, pensez vous réellement réussir à m’avoir aujourd’hui encor que la nuit dernière je n’avais point d’arme, vous souvenez vous ou devrai-je vous rafraichir la mémoire, un solide gaillard comme vous ne peut pas avoir oublié une défaite aussi rapidement » son interlocuteur rougie violement en ne serais dire si se n’étais de hante ou bien de colère, et tous les villageois qui avais entendus le justicier explosèrent littéralement de rire, d’un léger regard, elle regarda les nombreuses fractures de l’homme à terre, et doucement pour évité que les gardes ne l’entende elle dit avent de commençais le combat : « emmenez le chez le docteur Clandré, il à besoin de soin, dépêchez vous je retiens les gardes »
    La femme sourie alors qu’un fuie de larme coulée le long de ses joue « merci, merci, merci » répétait elle cette image réchauffa le cœur de L’héroïne, elle se tourna vers les gardes les défient du regard, plusieurs minute s’écroulèrent ainsi avent que les quatre ne s’élance vers elle, évite chaque coup durent plusieurs instant, elle fini néant moins par baissé un peut sa garde, et se blessent légèrement au genou elle tombât à terre, celui qui avais fais son coup sourie mais c’étais trop tôt car Liliana n’avais pas abandonné, un simple croche pied et il fus de même pour lui, le justicier tournoya sur lui-même, une pirouette et le revoilà debout pointent le boue de sa lame sur ses ennemis, le blessais avais étais emmené, d’un sourire sur d’elle, elle s’avança les yeux emplis de froideur, les questions qui l’envahissez il y’à peut avais disparus à la place, rien, du vide, son esprit étais blanc, comme neige, et cela provoqué des frisson, la plus part des personne penserais à la possibilité de leurs morts, elle, non, elle ne songé pas à cela, peut être par se que pour certain la mort est symbole de délivrance, qui sais ?.
    Deux coup de pied sur la hanche et voilà deux des gardes au tapi « plus que deux » pensait-elle, « je doit me dépêcher de retourné à  la  clinique, sa fais male, il ne ma pas raté, bon plus le choix, heureusement que le sang c’est arrêter de coulé » elle se mis à courir en direction d’une impasse, les soldat la suivez, tournent au plus vite pour se caché elle grimpa ainsi le haut d’un toit, et plongea  les pieds les premiers sur la tête de ses poursuivent, se qui eu comme résultat deux autres gardes K.O, enfilent sa cape, elle se remis en route, entre les ruelle, emprunté tous les raccourcis, sa gambe recommençais un peut à saigné, sa lui fessais terriblement male, mais elle n’en avais rien à faire puisque pour elle se n’étais pas grave et il y’avais peut de risque d’infection.
    Après près de cinq minutes, Liliana fus de retour à la clinique, comme à son allé elle repassa par la cabane et se changea pour ensuite pénétré à toute vitesse en direction de la sale des soins, qu’allais telle encor lui dire, elle détester mentir mais n’avais pas vraiment d’autre choix, bon pour l’instant se n’étais pas le plus urgent, les blessures  n’étais pas vraiment grave mais il chapitre 3devrait lui resté quelques cicatrices.

    Après une bonne heure, les blessures furent soigné, Lilina et Mr Clandré sortir de la pièce et laissèrent leur passion avec sa femme

    « Alors tu va m’expliquer, tu m’avais dit que tu aller le cherché et la je voix sa femme le transporté jusqu’ici et tu arrive vingt minute plus tard… ne me dit pas que la encor attendus »

    « si » dit elle d’une petite voix tout en baissent la tête : « excusé moi, mais il pourrait se blessé ou encor pire, on moins je pourrais lui donné les soins de premier secoure »

    « D’acore, bon tous ses bien passé c’est le plus importent mais enfaite tu sais je connais une jeune fille qui est tombé amoureuse d’un certain justicier, toi aussi tu la connais »

    « Arrêter avec sa, sa n’arrivera jamais…. Je ne suis pas amoureuse » répliqua Liliana en rient intérieurement après tous elle n’à pas le temps pour sa et comment pourrait elle tomber amoureuse d’elle-même de sa deuxième personnalité, en faite à chaque foie elle lui fessait croire qu’elle attend de voir si le justicier s’en sortirais et à force il c’étais habitué à sa et il lui disait toujours qu’elle en était tombais amoureuse, enfin se n’ai pas importent, après tous presque toutes les villageoises craque pour se héro inconnus.

    « tu peut partir pour aujourd’hui, je me charge de fermé la clinique, demain tu à un jour de congé, alors repose toi bien, et reviens en plaine forme, à plut tard, et en revoir  Camille» dit Mr. Clandré

    « au revoir » répondit l’enfant

    « D’acore et merci en se revoie après demain » elle s’approcha de Camille : « tu  veux qu’en aille se promené un peut »

    « ouiiiiii » elle couru vair le médecin et dit : « grande sœur va m’emmenais faire un tour »

    « Amuse toi bien et… » il se pencha vair son oreille et continua « prend bien soin de ta grande sœur, d’acore »

    Camille qui s’éloigna un peut sourie et dit : « promis, juré, je serais son garde du corps »

     « Qu’es que vous chuchoté comme sa tous les deux » dit Liliana en se tournent vair eux

    « Rien » dirent ils à l’unissent

    « C’est suspect, mais je vous laisse pour cette foie, aller viens Camille »

    Elle se prirent la main et partir ensemble en ville, Liliana en profita plus pour s’assuré qu’il n’y avais plus de danger, et puis pendant qu’elle étais en train de marché  Camille  qui regardé sa sœur depuis quelque que temps hurla : « grande sœur, grande sœur, tu saigne »

    Liliana qui fus au début surprise, regarda sa gambe, en effet elle ne l’avait pas soigné pour ne pas les inquiétais, elle sourie doucement et dit à l’enfant : « se n’es rien, je suis tombé tout à l’heur, c’est tous »

    « Non, tu viens à la maison, il faux te soigné »

    « Mais…. » Elle fut coupé de suite par la petite

    « Pas de mais, allez à la maison »

    « D’acore, allez, on y va » dit elle avec un sourit

    Elles rentrèrent et soignèrent la blessure, il se fessait tard alors après avoir mangé les restes de la veille elles partirent se couché,

    « Liliana, Sava mieux ta gambe »

    « Oui, Sava, ne t’on fait pas »

    « D’acore, mais promet moi, tu ne va pas partir, n’es pas »

    « Oui, je reste avec toi mon ange »

    « Alors tu dois me dire, ne me cache plus qu’en tu ne va pas bien d’acore, tu dois prendre soin de toi »

    Liliana eu un petit sourire cette petite fille parlé comme une mère,

    « d’acore, mais maintenant on doit dormir, comme sa en sera  en plaine forme demain »

      

    Voilà je sais vous me haïssais et vos en avais le droit car je n’ai rien n’écrit dans se site depuis un mois mais je vais essayais de me rattrapé, c’est dernier temps je doit dire que j’avais beaucoup de révision et que j’avais la flemme d’écrire mais je m’y remet alors à plus, normalement si tous se passe bien dans deux jour la suite, je vous préviendrais (vois les couteaux arrivé) ben je fille

    chapitre 3


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  •  CHAPITRE 4: rencontre mystérieuse

    Elle s’était levée de bonheur, regardent cette petite fille coucher dans ses bras, cette enfant lui remonté le morale, la laissent sourire quelque foie seul, symbole de joie, Liliana remerciais le chapitre 4ciel de lui avoir confié Camille, grâce à elle sa vie s’est transformais, elle n’est plus seul, quelqu'un attend son retour, lui sourie, lui parle, ne serais-se que la regarder avec ses yeux scintillons lui prélever un nouveau souffle, « je te protègerais Camille, tu ne sera jamais seul, et personne ne te fera aucun male » elle prononça ses quelque parole pour ensuite se levée et se préparer.

    Il est à présent midi, Liliana et Camille sortent de la clinique, et se dirigent vers le parc à coté de sa maison, la petite joue alors que l’ainée s’assied tranquillement sur le bond, de ses yeux brun elle semble transperçais le palet devant elle, il est grandiose et des plus beau, mais à sa vue, elle ne peut rien décelais d’autre que le drapeau si trouvent, elle ne voie même pas sa couleur, et maudit le roi qui s’y abrite, réussira t’elle un jour à réaliser sa vengeance ?, et si c’est le cas, en sera-t-elle plus contente ? qu’es qu’elle y gagnera ?, au fend elle ne veut commettre aucun meurtre, mais elle ne trouver aucune autre solution, temps qu’il est la, le malheur restera, ragent de devoir mettre ses principe de coté, à la simple vus de sa photo ou son armée, la gentille Liliana disparais et laisse place à la rancœur du passé.

    Extirpais de ses pensée par des cris, elle remarqua soudain derrière elle, au loin, une courte poursuite, ses sourcils se fronce, elle appellent Camille et lui demande d’aller s’abritais à la maison, comme prétexte, une course urgente à faire, la petite sans trop posé de question partit, Liliana la suivais du regard jusqu’à se qu’elle pénètre la chaumière abandonné, elle posa alors ses yeux sur les quatre poursuivent qui semblais être des gardes du palet pour ensuite regarder celui qu’en pourchassé, elle ne le reconnaissais pas, l’avent jamais vus au par avent, il porté une capuche qui dissimulais les trais de son visage, elle ne se posa pas de question, ouvris son sac et mis un manteau noir pour se dissimulais, et partit en courent pour prendre un raccourci, elle arriva là-bas et attendit, « c’est la seul route par ou il peut passé, des qu’ils arrivent je le tire et l’entraine loin de ses coxs » pensa elle dans un langage pas des plus correcte, pas moins de vingt seconde plus tard, Liliana pus confirmé ses pensée, l’homme qui courais de ses derniers souffle fus pris par la jeune fille, la surprise se lisais sur son visage alors qu’elle le plaka contre une porte et lui demanda de ne plus bouger, enlevais sa veste, pour laisser découvrir ses cheveux et sortit de la ruelle, elle s’allongea par terre et commença à lancer des injures vers l’autre coté d’où se trouver la victime de la pourchasse, qui ne comprenais absolument rien, les gardes arrivèrent, la voyant criais, elle fis semblent de ne pas les avoir remarquer, et se leva en dépoussièrent sa robe, en continuent à regarder l’autre coté et dit : « mais quelle impolie, il ma bousculer en courent et il ne se retourne même pas, franchement, IMPOLIE » cria t’elle vers l’horizon, les gardes comprirent immédiatement et partir en courent vers l’opposé de la ruelle ou se trouver celui qu’il traquer, Liliana sourie diaboliquement « oui se sent réellement des coxs » confirmait elle ses pensé à voie basse pour ne pas que les sujet de cette insulte l’entende mais assez fort pour laisser le réfugier en rire, elle s’approcha ensuite de lui

    « et bien tu la échappais belle, un peut plus et il t’attraper, ta eu de la chance que je t’ai remarquer »

    L’homme enleva sa capuche et laissa apparaitre son visage, Liliana comme à son habitude détailla alors chacun de ses trais des cheveux rouge sang et des yeux gris métallique qui sembler pouvoir vous percez à jour, ses joue étais rosi sans doute à cause de la course qu’il à entrepris, des épaules larges, des bras musclé, en deviner sous la chemise blanche qu’il portait plusieurs tablette de chocolat parfaitement dessiné,  cette foie elle en étais persuadé,  jusque la elle ne l’avait encore jamais vus, comment cela se fait il ?, je connais pourtant tous le monde de vue, elle fus coupé de ses pensée par le jeune homme, qui souriez d’un air narquois et amusé face au yeux baladeur de la jeune fille sur son corps

    « et bien ne t’attend pas à se que je te remercie, je ne t’ai jamais demander de l’aide, de plus ….. tu ne pourrais pas arrêter de me fixé, je sais que je suis un dieu mais qu’en même »

    Liliana devenus rouge pivoine face à la remarque du jeune homme et dit en balbutient : « un….mais….quoi ?, non…mais », un soupire sortit de sa bouche et elle se ressaisi avent de dire : « et bien es que tu pourrais en moins me donné ton nom ? »

    « castiel, je suis castiel, ravie de faire ta connaissance, et toi ? »chapitre 4 

    « et bien moi, c’est Liliana, tout aussi enchanté, eh, enfaite….. Pourquoi les gardes te courais après »

    D’un coup son corps se tendis, « visiblement il n’avait pas envie de rependre à cette question » se dit la jeune fille, et c’étais le cas puisqu’il ne dit rien et se contenta de fronçais les sourcilles, Liliana n’insista pas, elle lui dit au revoir mais avent de partir, il lui attrapa le bras en lui demandent ou elle habitais : « je n’ai pas de domicile fixe, mais i tu me cherche tu peut me trouver chez la clinique de la ville » rependit elle simplement avent de repartir vers la maison pour rejoindre Camille

    Point de vue Castiel :

    Cette fille qui est-elle ? Pas de domicile fixe ?! JE PEUX LA TROUVAIS A LA CLINIQUE ?!, quoi qu’il en soie, elle est vraiment canon, ressaisi toi Castiel, la tu ne peut plus faire le con, mais je ne sais pas j’ai l’impression de l’avoir déjà vus mais ou, heureusement qu’elle n’à pas insister, qui je suis ?, personne ne doit le savoir à par Lysandre, sinon sa risque je jaser pour moi, bon je dois vite trouver ou dormir se soir

     

     


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